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LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE DE NEW YORK
Le moment est venu
d’observer, avec recul, les évènements de New York. En posant comme ligne
directrice le scepticisme. Plusieurs éléments s’analysant en fonction du biais
de Diagoras, encore appelé en psychologie biais du survivant, afin de séparer
ce que nous savons, de ce que nous ignorons.
CULTE
DES DEVOTS SURVIVANTS AUX ACCIDENTS
Un court rappel s’impose afin de rafraichir
la mémoire, ou encore pour apprendre, à celles et ceux qui l’ignorent, qui
était Diagoras de Mélos, ainsi que la raison de sa célébrité dans l’analyse des
faits et des événements. Diagoras était un philosophe grec du scepticisme,
doublé d’un athée. Pour cette raison Athènes avait mis sa tête à prix afin que
des chasseurs de primes le ramènent mort, ou vif, pour être jugé et exécuté en
public pour son impiété notoire. Personne ne le trouva. Le philosophe Diogène
Laerce rapporte que des prêtres, ayant montré à Diagoras les icônes de victimes
des naufrages maritimes, ayant survécu pour avoir prié les dieux, s’attirèrent
de sa part cette réponse : « je
sais bien que c’est la coutume de les représenter en icône, mais où sont les
icones des naufragés ayant eux aussi prié les dieux et qui ont péris en
mer ? Prier ne sert à rien si les dieux ont leurs têtes, sauvant
quelques individus au détriment de tous les autres ! ». Cette
réplique fonde le principe selon lequel on ne sait d’une chose que sa surface,
en ignorant sa partie cachée.
LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE
Nonobstant
la profusion des noms employés, ou lus, d’origine américaine dans les messages
diffusés depuis New York il s’en dégage un seul que nous nommerons Le Singe
pour la commodité d’écriture. Tous les autres, à des titres divers, sont des
fictions.
Depuis le mois de juin 2016, approximativement
130 à 177 adresses -le nombre varie au fil des semaines- étaient destinataires
d’un email hebdomadaire, émis d’aol, se rapportant aux divagations d’un
hurluberlu se prétendant tour à tour auteur d’un annuaire de la fausse voyance,
d’une feuille aux parutions éphémères, ainsi que de la diffusion de messages
dont les contenus informatifs sont brouillés par plusieurs propos
incompréhensibles et discordants.
Le SINGE envisage d’exploiter, de manière
linéaire, un segment du marché de la crédulité, celui de la fausse voyance. La
voyance n’existe pas en tant que telle. Nonobstant tous les propos enflammés de
ses adeptes. En toute logique il convient donc de ne parler que de la fausse
voyance. Afin de recruter des fidèles, au sens culte de ce mot, le singe
fonctionne en propageant du bruit inductif. C'est-à-dire en diffusant sur
internet des affirmations impossibles à prouver. Selon le système des critiques
de livres. Afin de créer, dans ce qu’il considère son audience, des
attachements préférentiels. Il élabore ainsi des listes de gagnants -visibles- sur
le mode de ce que l’on ne voit pas. Des listes élaborées sur la base d’accords
confidentiels de copinage. Relevant de la face cachée de la diagonale de
Diagoras. Il exprime ses « critiques »
ou appréciations sous la forme du méliorat hyperbolique. Celui du stéréotype
excessif de l’excellence. Une technique classique de manipulation appelé effet
Barnum. « A chaque minute nait une poire ». Il
suffit de doser le compliment. En introduisant des échelles d’évaluations
qualitatives entre meilleurs, puis entre meilleurs des meilleurs, puis enfin
entre meilleurs et la crème. Le top du top de l’élitisme. Ainsi la politique
graduelle des éloges excessives constitue une application du biais du
survivant. Par usage de la gratification progressive. Il en résulte pour les « élus » l’impression de figurer au
panthéon permanent de la Gagne. Le record permanent des plus représentatifs.
Sur la base d’une image contrefaite du mythe du succès. Ils ont survécu aux
noyades, comme les rescapés des naufrages maritimes de l’antiquité du temps de
Diagoras. Ils figurent sur les icônes du Singe. Toutes ces affirmations se
rapportent à des gens dont la prospérité repose sur la pratique de
l’escroquerie par activité : appelée en justice l’escroquerie aux arts
divinatoires ainsi définie : persuader un crédule contre la remise d’une
somme d’argent de ses pouvoirs divinatoires. Ainsi un spécialiste en tromperie,
emploie un effet déformant de la perception tronquée, qu’ont d’eux même des
activistes de l’escroquerie aux arts divinatoires, afin de leur faire croire
qu’ils sont les plus représentatifs de la réussite. Cette duperie incite ces
gagnants à se dépasser, notamment en manifestant des prétentions
caractéristiques dans la diffusion de publicités trompeuses, contrevenant à la
législation du droit de la consommation. Cela se traduira par de sévères
sanctions, ainsi que par des désillusions aux conséquences destructrices, à
raison de l’incitation permanente à tromper le consommateur en usant de fausses
qualités. Celles, et ceux, qui se prétendent les meilleurs des meilleurs
en France, et en Europe, devront en apporter la preuve, à bref délai, autrement
que par les éloges diffusées de New York. Non recevables. Elles, et ils, le
découvriront bientôt à leur détriment.
Les appréciations hyperboliques du Singe
incitent, celles et ceux qui les lisent, à confondre la distribution du maximum
de la variable avec la variable elle-même. A savoir qu’il existe des meilleurs
faux voyants chez les faux voyants, afin d’inciter le crédule à acheter leurs
prestations de préférence. Ils sont tous faux et interchangeables. Aucun ne
vaut mieux que l’autre. Plus faux que faux constitue un non sens sur le marché
de l’imposture.
Ce système avait peine à décoller depuis 2012.
Alors le singe imagina, plutôt un énigmatique «on» lui suggéra, d’employer une
grille supplémentaire d’évaluations, toutes aussi impossibles à prouver, celle
des mauvais faux voyants. Afin de jouer sur deux extrêmes variables, les
premiers et les derniers. Sur le même mode du survivant, en double biais. Un
mauvais voyant caractérise aussi un survivant, classé dans la catégorie des
exclus du copinage du Singe. Il fallait illustrer le propos par un exemple. En
s’en prenant à une tête de turc. C’est ainsi que Monsieur David MOCQ fut -instrumentalisé-
à partir de juin 2016 sous l’étiquette du mauvais faux voyant. Compte tenu de
l’échelle d’observations, employée par le Singe, cela équivaut plutôt à un
compliment qu’à une réprobation.
Au début de cette campagne, inaugurée en juin
2016, le public destinataire des messages était bluffé. Tout comme Monsieur
David MOCQ, pensant alors à une campagne d’attaques personnelles sur le mode de
la diffamation. C’est lors de l’élargissement de cette campagne, à l’INAD,
début juillet 2016, qu’une partie de la Diagonale de Diagoras livrait un peu
plus de son secret.
L’INAD est connue, de quelques spécialistes,
depuis les années 1990, pour sa campagne de démarrage via le 3615 INAD sur le
thème « les professionnels que l’on
peut ne pas consulter ». Les sociétés YANN et ANNE DESTEIN assignèrent
l’INAD devant le TGI de Paris afin de lui réclamer 20 000 francs de
l’époque et 6000 francs d’article 700. Les demanderesses se plaignant d’une
action anticoncurrentielle leur causant préjudice, puisque leurs noms
figuraient sur cette liste. Cette
campagne est à l’origine de la notoriété de l’INAD en qualité de dénonciation
d’agissements frauduleux, et indélicats, dans la fausse voyance. Yann proposait
des études de voyance d’amour, la réussite hors du commun, et la haute
protection avec un fer à cheval. Anne Destein le retour d’affection et le
désenvoûtement. Des prestations classiques.
Le Singe, dans sa collection de macaques,
fait l’éloge des meilleurs des meilleurs dont les prestations sont assez
similaires : un de ses « musts » affirme travailler à la
couleur. Sans préciser si c’est à l’huile, à la craie ou à l’acrylique. S’il
voit du bleu « tout ira bien ». Une application pigmentée du fer à
cheval de Yann. Une de ses merveilles affirme « ressentir les esprits ». Divagation de maléfice
et de sortilège, sur le mode Anne Destein, cela tombe sous le sens.
C’est ainsi, rétrospectivement, que l’on assiste
à une nouvelle version 2016 cette fois, des
voyants que l’on peut ne pas consulter, diffusée de New York, avec en guest
Star, invitée vedette, l’INAD. Effaçant totalement Monsieur David MOCQ, rôle
devenu inutile, relégué au dernier rang de la figuration sur le plateau, sans
aucune réplique à prononcer dans le script. Bizarre !
Bizarre ! Moi j’ai dit bizarre ! Je vous assure cher cousin que vous
avez dit bizarre. Bizarre. Bizarre ! Comme c’est bizarre. Célèbre
réplique de Jouvet dans Drôle de Drame.
En effet, un sondage sur un panel de personnes
ayant lu les emails du Singe de juillet, à début novembre 2016, donne pour
résultat une distribution 80/20 de la loi de Vilfredo Pareto.
80% de la mémorisation se rapporte à la
mention du mot INAD dans les emails hebdomadaires significatif d’une importante
promotion médiatique. Une forte mise en valeur.
20% de la rémanence se rapporte à la forme du
message, à savoir un email, sans pouvoir se souvenir des motifs pour lesquels
l’INAD est citée, lesquels sont considérés comme sans importance.
Il ressort de ce constat, que les critiques,
émises contre l’INAD, contrairement à une idée reçue, servent sa notoriété en
promotionnant cette dénomination au lieu de la desservir.
La mention du nom de Monsieur David MOCQ,
laisse peu ou pas de traces mnésiques. Pourquoi est-il cité ? Quelles raisons ?
Le mystère plane ! Infni : information non identifiée.
Il apparaît ainsi que les messages,
successifs, du Singe sont brouillés par du « bruit », au sens de la
loi sur l’information de Shannon. La mise en page illisible, caractères et
paragraphes, perturbe la compréhension de ses textes. Les inserts de photos -surdimensionnées-
nuisent à la lecture à cause des ruptures visuelles suscitées.
Les affirmations péremptoires contre untel,
ou tel autre, sont dépourvues de crédibilité. Ainsi les mots « arnaques,
imposteur, charlatan » employés restent sans écho par absence de fait
auxquels les raccrocher.
Le lecteur considère que les dénonciations, et
attaques proférées, contre les tiers, sont « gratuites », absurdes, arbitraires,
dépourvues de motivation, non crédibles. Sans portée réelle. Globalement, la
campagne, lancée de New York, par le Singe, apparaît comme une action
publicitaire de nature à servir exclusivement les intérêts de l’INAD, aussi
contradictoire que cela paraisse, à raison de la répétitivité de cette
dénomination diffusée chaque semaine dans les textes.
Il reste à appliquer la diagonale de Diagoras,
afin de révéler le contenu de ce que l’on ignore encore. Notamment les liens
troubles existants entre tous les acteurs de cette saynète non improvisée, auteurs,
comme bénéficiaires. Il apparaît, en effet, que les principaux détracteurs de
l’INAD servent -paradoxalement- ses intérêts. Leurs critiques, quels qu’en soit
le contenu, renforcent l’INAD. Donnant ainsi une nouvelle application d’une
réalité, connue des éditeurs, selon laquelle les mauvaises critiques
intéressent plus les lecteurs potentiels que les bonnes. Car elles excitent la
curiosité.
En définitive L’INAD n’est pas victime, ainsi
qu’elle voudrait le faire croire, d’une campagne de diffamation de la part des
américains. Y compris lorsque le Singe se livre à la diffusion de quelques
messages à caractère racistes, relevant de l’opinion, et non de la discrimination,
après une lecture attentive. Le Singe n’aime ni les africains, ni les arabes. C’est
son droit. Comme Coluche « on nous a
bourré le mou pendant des années comme quoi, en 732, Charles Martel avait
arrêté les arabes à moitié. Et bien maintenant il y en a jusqu’à Lille. »
Dés lors qu’en France, l’article 6 du code
civil dispose que la voyance est contraire à l’ordre public, et aux bonnes
mœurs, reprocher à l’INAD de n’avoir rien fait pour les voyants ne saurait
constituer ni une faute, ni une calomnie. La loi est la même pour tous.
Notamment aux Etats-Unis, la loi fédérale civile ne reconnaît aucune légitimité
aux «psychics», ni non plus aux médiums.
Il reste alors à l’INAD, et au Singe, à créer
ensemble, FVSF : Faux Voyants Sans Frontières à l’appui de leurs causes
communes, compte tenu de l’absence d’adversité réelle entre eux. Dernière
révélation choc de la diagonale de Diagoras. Alliés au lieu d’ennemis. Une
belle intoxication…
ϕclaude thebault 20/11/2016
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Le même commentaire était publié en notes de l' ancien article 405 escroquerie du code Pénal Dalloz -page 589 Dalloz code Pénal 1992-
Ce site traite, la voyance ainsi que les pratiques des arts divinatoires, en qualité d'escroquerie dès lors que, contre argent, des actes destinés à persuader les crédules, de l'existence de pouvoirs oraculaires, sont engagés.
NOR: ECOX0200175L
Version consolidée au 04 avril 2016
TITRE Ier : DE LA LIBERTÉ DE COMMUNICATION EN LIGNE
Chapitre Ier : La communication au public en ligne.
Article 1
I, II, III : Paragraphes modificateurs.
IV - Ainsi qu'il est dit à l'article 1er de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, la communication au public par voie électronique est libre.
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On entend par communication au public par voie électronique toute mise à disposition du public ou de catégories de public, par un procédé de communication électronique, de signes de signaux, d'écrits, d'images, de sons ou de messages de toute nature qui n'ont pas le caractère d'une correspondance privée.
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