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mardi 23 mai 2017

FLOP


communiqué de la Fédération Américaine des Voyants et Médiums  Certifiés












Après les gesticulations des faux voyants, l’épreuve des faits.
A quoi mènent les singeries ? A rien !...
Constat d’un Flop.



U
ne transparence animée par un singe, du type ouistiti échappé du rail, promettait que l’on allait voir, ce que l’on allait voir, le 2 novembre 2016 en trompetant, sur l’air favori des macaques, avoir convoqué au moins cinq personnes physique, ou morale, et leurs complices français, devant la justice. Notamment à un référé enrôlé pour la date du 13 janvier 2017. En plus d’une procédure pénale d’instruction, lancée à deux mains, comme à quatre pieds, en diffamation contre diverses personnes dénommées pour les mêmes motifs.

Au nombre de ces complices français, anonymement mentionnés par ce terme générique, se trouvent des gens mangeant leurs pitances aux deux râteliers en même temps, pour les besoins de leurs business. Ainsi qu’un bon ami du ouistiti se déclarant « Grand Maître initié au Tibet et en Afrique », « spécialiste du désenvoutement à distance par la haute magie ». Un cador en balivernes formé à mauvaise école. Parce que la basse magie, comme la basse égypte, ne donne rien convertie en euro. Ainsi que le savent celles et ceux grouillant dans le marais du gogoland. Qui peut croire que le ouistiti pouvait assigner un de ses bons « zamis », ainsi que ceux qui le financent ? Les consommateurs bernés par les rends-berneurs, bien évidemment !
Le ouistiti annonçait au menu : « diffamation, discrimination, insultes, injures publiques, incitation à la haine raciale, tromperies des consommateurs, harcèlement, menaces et chantage sous conditions, certains hébergeurs de commentaires diffamatoires sont également convoqués afin de communiquer les noms des courageux anonymes qui se cachent derrière un anonymat ''de confort '' pour déverser leur fiel. »

Consultés en video you tube par tam-tam spécial africain, sur les chances de cette action, les esprits de la jungle rendaient, après mûre délibération, aux marabouts un oracle unanime, « le singe veut se faire plus gros que l’éléphant ». Bref le ouistiti se prenait pour le verset du Coran, dixit le prophète. Allah est grand, Mohamed est son prophète.

La transparence anime, elle aussi, que voulez-vous il faut bien vivre, une amicale de faux voyants qui assure la substance de celles, et de ceux, qu’elle engraisse depuis une trentaine d’années. En se proclamant, aussi œuvre de malfaisance des consommateurs. Mauvaises fréquentations pour consommateurs abusés. Le fond de commerce de la transparence repose sur le conflit d’intérêt. Façade pour faux voyants en même temps que trompe l’œil pour bernés. Une invention psychopathe paranoïde.

Les personnes, physique, ou morale, qui étaient assignées par le ouistiti sont, selon plusieurs apparences, des concurrents américains directs, partageant des intérêts communs sur fond d’idées homogènes sans divergences notoires. Se résumant au constat qu’il y a autant de volailles à plumer, chez les faux voyants, que chez leurs clients.

Il était plus simple, et moins onéreux, d’engager l’action du 2 novembre 2016 directement à New York. Car la loi de l’Etat[1], dispose que les décisions étrangères ne s’appliquent à New York, et à ses citoyens, qu’à la condition expresse, que le système juridique qui l’a rendu, respecte le 1er amendement de la Constitution Américaine de 1793, ainsi que la Constitution de New York pour les droits civils des personnes, les deux ensembles. Ce qui n’est pas le cas de la France. Voilà le drame. Cela signifie que même dans l’hypothèse, complaisante, ou le magistrat parisien accorderait, par suite d’abrutissement total ou partiel, au ouistiti, les demandes formulées contre des américains. Celles-ci ne pourraient leur être applicables, y compris en assignant Google pour obtenir des déréférencements. Etant donné que Google a son siège social aux Etats-Unis. Ainsi que sous réserve que toutes les personnes citées soient citoyennes de l’Etat de New York. Ce qui n’est pas le cas, certaines relevant de la loi californienne. Etat dont le code de procédure civile, comporte pour l’application d’un jugement étranger 9 conditions, dont une spéciale pour la diffamation, non reconnue par la loi Française. Constitutif d’une condition d’irrecevabilité à Paris, quand bien même le juge Français se déclarerait compétent. Obstacle du privilège de Juridiction.

Le menu, prétendu diffamatoire, du ouistiti se plaide aussi à New York. La ville exhibant la Statue de la Liberté est civilisée, à la différence des autres pays, dans lesquels vivent des sauvages ne respectant ni la Constitution Américaine, ni non plus celle de New York en même temps. Toutefois il existe une condition supplémentaire à satisfaire : agir sur la base du vrai et du faux. Or les américains dénonçaient les faux voyants français, joyeux compagnons de l’amicale de la transparence. Sans prouver, bien entendu, si dans le lot il en existait des vrais. Il y en a aucun, les américains le savaient. Le ouistiti, ex cheminot de son état, a constitué son amicale avec des wagons d’aveugles, sans trouver un seul spécimen de locomotive pour tirer le convoi. C’est certainement un problème de tender. A New York, le ouistiti ne peut pas prouver que ses aveugles ont les super pouvoirs des héros de Marvel, pour se plaindre des critiques ayant excité sa bile. A Paris non plus d’ailleurs. Sur le fond de l’affaire il n’y a ni diffamation, ni insulte, ni injure, ni tromperie, ni menaces ni chantages. Il n’y a que des faisans qui faisandent, chacun de leur côté de l’Atlantique. Des menteurs en somme. Or en la matière, les juges d’instruction français, sont passés maitres en matière d’ordonnance de refus d’informer, au motif que « la qualification de menteur n’est pas protégée par la loi, et que les mensonges[2] en cause ne font apparaître aucune diffamation ou injure répréhensible caractérisant une intention présumée de nuire ».Qu’au surplus, les parties en présence disposent du minimum syndical de discernement, « notamment leur état de santé psychique ne constitue pas un élément de nature à caractériser une vulnérabilité dont la préservation s’impose».  

Quoi qu’il en soit de leurs désaccords, sur l’exploitation du terreau de la crédulité, avec ou sans engrais publicitaire mensonger, profitant à tous ces personnages de comédie, il reste patent, que le cinéma, mis en place, début novembre 2016, donna lieu à un FLOP.

Communiqué de la Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés. 23/05/2017





Les faux-voyants anonymes FVA annoncent qu’ils livreront, à partir de la fin 2017, leurs promesses par drones à domicile. Equipez-vous en conséquence d’une piste d’atterrissage pour la réception.

contact@favmc.org


La Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés se conforme à la loi anti divination de l’Etat de New York en poursuivant un objet de lutte contre les faux voyants, médiums, astrologues, ainsi que contre les pratiques divinatoires.

Le site officiel de la Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés appartient à la catégorie des Médias indépendants de la liberté d'expression anti divinatoire, contribuant à la formation de l'opinion, indispensable à la manifestation de la pluralité des courants de pensées, et de convictions, en démocratie.

Publié en application du 1er amendement de la Constitution Américaine, relatif à la liberté d’expression absolue sans restriction





[1] Civil Practice Law and Rules §5304 defamation Foreign country judgement New York Laws
No recognition : a foreign country judgement is not conclusive if :  motif de non reconnaissance d’une décision étrangère
8- the cause of action resulted in a defamation judgment obtained in a jurisdiction outside the United States, unless the court before which the matter is brought sitting in this state first determines that the defamation law applied in the foreign court’s adjudication provided at least as much protection for freedom of speech and press in that cases as would be provided by both the United States and New York constitution. Constitutif d’un privilege de juridiction
[2] Mentir en France n’est pas un délit, alors que le faux est réprimé, notamment les faits article 441-1 cp chaque fois qu’il y a altération de la vérité. Se prétendre voyant, sans avoir de don, constitue un usage de fausse qualité.