mercredi 18 juillet 2018

n'attendez RIEN du 27 juillet 2018


Concomitance d'une éclipse de lune avec un alignement de Mars. Le 27 juillet 2018 les montagnes n'accoucheront pas encore des souris


lundi 16 juillet 2018

Les fausses écoles de la voyance


Après la fausse école d'astrologie Karmique de Laurence LARZUL
voici les fausses écoles et instituts de la voyance


mardi 10 juillet 2018

DUPER PAR LES CIRCONSTANCES AERIENNES



.deux passagers avaient le même nom, même vol, même jour.
.deux compagnies aériennes fantômes allemandes proposaient des billets bon marché sur internet

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samedi 26 mai 2018

RAPPORT MARS VENUS DE L'ASTROLOGIE SANS MYSTERE











Rapport Mars Venus de l'Astrologie Sans Mystère



Opposer Gandhi à Hitler pour exposer le rapport Mars Vénus constitue une erreur.
Voici l'explication, sans effet de propagande..





mardi 15 mai 2018

Comment les astronomes couillonnèrent les astrologues avec la précession du zodiaque











Janvier 2011, une campagne médiatique planétaire occupait toutes les publications sur le thème "votre signe a changé de signe". Faisant suite aux déclarations d'un astronome américain, Park Kundle, quêtant de l'argent pour la création d'un observatoire à Mineapolis. Au plan mondial aucun astrologue ne fut en mesure de formuler des objections sérieuses. Pourtant elles existent. Car les signes sidéraux n'ont pas bougé. Ce bobard était mis au point en janvier 1657 par le RP jésuite Jacques de Billy, dans son livre "Le Tombeau de l'Astrologie Judiciaire". En cours de réédition. Le bluff consistait à faire précessionner le zodiaque. Ce qui n'est pas possible, puisque la précession concerne la Terre. De 1951 à 1978 Paul Couderc, astronome de l'observatoire de Paris, reprenait à son compte ce mensonge, dans les préliminaires astronomiques de son Que sais-je? de l'astrologie. En se payant la tête, en droits d'auteur, de ses nombreux lecteurs. De 1657, à 2011, le Révérend Père Jésuite Jacques de Billy faisait ainsi des émules.

Le gag de 1657 était dirigé contre l'évêque de Soissons, Charles de Bourlon. Pas très chrétien, de la part d'un père Jésuite, de se payer ainsi la tête d'un prélat en lui dédicaçant un livre, au motif de la culture scientifique revendiquée par l'évêque. Une preuve, s'il en fallait, que les bluffs bien élaborés ont de l'avenir.