L’expression populaire exacte
s’écrit avec voix, v-o-i-x au sens d’exprimer tout haut ce que son maître pense
tout bas. Le Réseau Anti Arnaques, dont le sigle est RAA s’alliait en 2016 avec
la mafia Inad, dont plusieurs membres font actuellement l’objet d’enquêtes
fiscales approfondies pour des détournements avec saisies de leur outil de
travail, et demandes d’incarcération des faux voyants pour tromperies du
consommateur par des propositions
irrationnelles.
Alignement
En mai
2016 la dénomination Réseau Anti Arnaques, laquelle prétend répondre à la forme
sociale de type association loi 1901, procédait à un accord de lien, de son
adresse internet, avec celle de l’Inad.
Manquement
à l’objet social déclaré
Le
RAA déclare que son objet social publié consiste à “favoriser la prise en charge par le consommateur des problèmes de la
consommation en lien avec la notion d’arnaque à la consommation et défendre en
justice les intérêts des consommateurs”. En somme le RAA ambitionne de
jouer le rôle d’une UFC bis. Sans en avoir les moyens matériels. Afin d’étendre
ses activités, le RAA s’intéressait à la voyance. Justifiant ainsi son
“rapprochement” avec l’Inad. Fausse réalité trompeuse. L’Inad n’est pas une
association de consommateur, ainsi qu’il résulte d’un arrêt de la Cour d’Appel
d’Aix en Provence daté 25/10/2012, suite à l’action d’un consommateur, M Gérard
Labarrère c/l’inad
“ Attendu que l'inad se borne à affirmer
qu'elle est un organisme associatif 'régulièrement immatriculé auprès de la
préfecture de police de Paris' mais n'en justifie pas, aucune pièce n'étant produite
en ce sens ; qu'il s'ensuit que, faute d'établir sa capacité juridique
résultant d'une déclaration préalable en préfecture, l'association en cause est
dépourvue du droit d'agir, par application des articles 2 et 5 de la loi du 1er
juillet 1901, 32 du code de procédure civile. »
Vous
lisez bien. L’inad « dont l'activité consiste en la défense des personnes victimes de pratiques occultes
et/ou arts divinatoires exercées par certains professionnels » depuis
1987, est incapable de produire la copie de sa déclaration à la préfecture de
Police de Paris. La raison est toute simple. En 1987 aucune déclaration d’une
association inad/consommateur n’était déposée.
La publication de cette vérité, se traduisait par
le décablage à 5 reprises en 12 mois, d’astroemail, par des hébergeurs se
faisant juge des contenus publiés, suite aux pressions et menaces de l’Inad de
les poursuivre, alors que le contrat signé ne les y autorise pas. Ces sociétés
sont appelées à s’expliquer devant le juge d’instruction, en compagnie de
l’Inad. Enfin plus exactement en compagnie de son parrain mafieux le professeur
6awi. Parce que toutes ces actions sont orchestrées par un voyou de la voyance
qui en tire un important revenu financier non fiscalement déclaré.
Le RAA s’alliait donc avec la voyoucratie de la
voyance, tout en affirmant à ses 55000 lecteurs réguliers, ainsi qu’aux abonnés
de sa revue, vouloir lutter contre les voyants. Cette union signifie que le RAA
trompe le consommateur.
Voici
une preuve de cette tromperie avec l’appel signé contre la société Cosmospace.
Conformisme d’obéissance docile servile et de dépendance à l’INAD
Le
27 novembre 2016 le RAA publiait un communiqué contre la plateforme de voyance
Cosmospace en ces termes :
«Les
comptes arrêtés au 31 mars 2015 font apparaître un chiffre d’affaires de 30,8
millions d’euros et un bénéfice de 1,7 millions d’euros. L’effectif déclaré est
de 200 personnes. Mais, de nombreuses plaintes s’accumulent au Parquet de
Grasse qui mettent en relief les méthodes de vente, le niveau
"dynamique" des argumentaires, la pression permanente sur les
clients. »
Le
poncif du Chiffre d’affaires réalisé par Cosmospace est utilisé contre une
société commerciale sans s’intéresser à la motivation de sa clientèle.
L’argument dit des « plaintes accumulées
au parquet de Grasse » constitue la reprise d’un ragot de l’Inad, paru dans
l’édition du Provençal de septembre 2016. Médisance selon laquelle l’Inad,
organisation de voyous de la voyance envisageait d’engager, contre une
plateforme refusant de passer sous son contrôle mafieux, une action judiciaire
dite de groupe, hors de son pouvoir légal.
Sans
vérifier le contenu de cette information, reprise en boucle, alors que le RAA
s’engage par ses statuts à en vérifier le contenu “ réaliser ou promouvoir toutes actions, études,
recherches, essais comparatifs de biens ou de services, soit à sa propre
initiative, soit en collaboration avec d'autres associations ou organismes,
permettant de fournir aux consommateurs, usagers, contribuables, les
informations et éléments de jugement utiles » le RAA faisait écho aux médisances de l’Inad en
trompant le consommateur sans avoir enquêté sur la réalité de ce qu’elle
dénonçait. Bizarre ne trouvez-vous pas? Notamment lorsque le RAA, se dérobant à
son activité de contrôle se dispensait de vérifier l’existence légale d’un
organisme occulte revendiquant la qualité d’institut national. Alors que
l’administration de l’éducation récuse la qualité d’institut national à l’INAD.
Désinformer : pratique trompeuse du RAA en matière de gratuit
L’objet
du RAA consiste à désinformer le consommateur, au lieu de lui donner les
éléments nécessaire permettant d’être attentif et avisé à l’égard d’un bien ou
d’un service. Ainsi à propos du gratuit le RAA publie à son adresse
internet :
« CE
QUI EST GRATUIT N’EXISTE PAS
Les
offres gratuites sont nécessairement des pièges. En effet, tout professionnel
doit vivre de son activité et il parait curieux qu’il souhaite diffuser
gratuitement ses produits ou services.»
Le
RAA publie ses préjugés personnels sous la forme de fausses allégations. Le
gratuit existe comme pratique commerciale licite, son usage est réglementé.
Ainsi relativement à la voyance gratuite, la notion de coût évitable du 19° de
l’article L.121-4 sanctionne les propositions audiotel gratuites/payantes. De 2
ans de prison ET de 300 000€ d’amende.
19°
De décrire un produit ou un service comme étant " gratuit ", " à
titre gracieux ", " sans frais " ou autres termes similaires si
le consommateur doit payer quoi que ce soit d'autre que les coûts inévitables
liés à la réponse à la pratique commerciale et au fait de prendre possession ou
livraison de l'article.
Les
paliers gratuits du 0800 au 0805 existent. Pourquoi contraindre le consommateur
à payer aux bandits, et aux malfaisants de la fausse voyance non sérieuse, la
surtaxation à la durée et le coût des appels via l’achat des codes de
micropaiement? Réponse : pour s’engraisser avec le gras du gratuit. Comme
RAMBERT. Voyez sa bedaine qui pète dans la mauvaise graisse. Voyez les poignets
d’amour de Judith Fricot elle aussi en surpoids. Trop de surcharge pondérale. Le
temps est venu de mettre tout ce monde au régime…
La voie de son maitre
Voie
avec un e signifie suivre le même chemin. Quel est-il? Le RAA déclare “défendre
en justice les intérêts des consommateurs”. Engagement en apparence altruiste.
Tout comme celui de l’Inad, réclamant aux victimes de la voyance le paiement
préalable de 15% des sommes dont elles ont été dépouillées, pour les
représenter en justice. Sans en avoir le pouvoir. Les victimes abusées paient
en croyant les promesses trompeuses.
En
effet, pour agir, une association doit être OFFICIELLEMENT agrée.
Le
RAA ne l’est pas. Ni non plus l’INAD, laquelle n’existe pas.
Ainsi
donc depuis mai 2016, deux “organisations” non représentatives encaissent de
l’argent des consommateurs, au motif de défendre leurs intérêts.
Par
une décision datée 09/12/2014 l’Inad se faisait virer du tribunal de Nanterre
en région parisienne au motif qu’elle n’a pas la qualité pour exercer la
défense du consommateur.
Le
RAA crie misère en réclamant des sous au consommateur, pour agir en justice
sans avoir d’agrément légal à cette fin.
L’INAD
et le RAA pratiquent l’abus de faiblesse du consommateur ignorant.
La
loi est mal faite car il a beau être écrit “Il
est interdit d’abuser de la faiblesse ou de l’ignorance d’une personne pour lui
faire souscrire des engagements, sous quelque forme que ce soit, lorsque les
circonstances montrent que cette personne n’était pas en mesure d’apprécier la
portée des engagements qu’elle prenait ou de déceler les ruses et les artifices
déployés pour la convaincre”. C’est puni de 3 ans de prison et de
375 000 euros d’amende. Et le contrat conclu à la suite d’un abus de
faiblesse est nul et de nul effet. Gérard Labarrère l’ignorait en 2012, son
avocat aussi.
Voila,
personne n’est capable de faire respecter ces textes.
Aujourd’hui
il y a l’Inad et le RAA. Il manque un troisième larron, puis un quatrième.
L’abus de faiblesse devient la règle dans la société Française. Jusqu'au jour
où le consommateur pêtera les plombs, et fera un carton avec son fusil de
chasse. En liquidant les voyous lui-même. Il faut de la viande froide pour que
les autorités s’aperçoivent, enfin, de l’existence de cette gangrène, et de sa
prolifération à Bressuire, à Paris, et ailleurs.
Astroemail.com 11/2018
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