vendredi 16 novembre 2018

LA VOIE DE SON MAITRE




L’expression populaire exacte s’écrit avec voix, v-o-i-x au sens d’exprimer tout haut ce que son maître pense tout bas. Le Réseau Anti Arnaques, dont le sigle est RAA s’alliait en 2016 avec la mafia Inad, dont plusieurs membres font actuellement l’objet d’enquêtes fiscales approfondies pour des détournements avec saisies de leur outil de travail, et demandes d’incarcération des faux voyants pour tromperies du consommateur  par des propositions irrationnelles.


Alignement
En mai 2016 la dénomination Réseau Anti Arnaques, laquelle prétend répondre à la forme sociale de type association loi 1901, procédait à un accord de lien, de son adresse internet, avec celle de l’Inad.

Manquement à l’objet social déclaré
Le RAA déclare que son objet social publié consiste à “favoriser la prise en charge par le consommateur des problèmes de la consommation en lien avec la notion d’arnaque à la consommation et défendre en justice les intérêts des consommateurs”. En somme le RAA ambitionne de jouer le rôle d’une UFC bis. Sans en avoir les moyens matériels. Afin d’étendre ses activités, le RAA s’intéressait à la voyance. Justifiant ainsi son “rapprochement” avec l’Inad. Fausse réalité trompeuse. L’Inad n’est pas une association de consommateur, ainsi qu’il résulte d’un arrêt de la Cour d’Appel d’Aix en Provence daté 25/10/2012, suite à l’action d’un consommateur, M Gérard Labarrère c/l’inad
Attendu que l'inad se borne à affirmer qu'elle est un organisme associatif 'régulièrement immatriculé auprès de la préfecture de police de Paris' mais n'en justifie pas, aucune pièce n'étant produite en ce sens ; qu'il s'ensuit que, faute d'établir sa capacité juridique résultant d'une déclaration préalable en préfecture, l'association en cause est dépourvue du droit d'agir, par application des articles 2 et 5 de la loi du 1er juillet 1901, 32 du code de procédure civile. »
Vous lisez bien. L’inad « dont l'activité consiste en la défense des personnes victimes de pratiques occultes et/ou arts divinatoires exercées par certains professionnels » depuis 1987, est incapable de produire la copie de sa déclaration à la préfecture de Police de Paris. La raison est toute simple. En 1987 aucune déclaration d’une association inad/consommateur n’était déposée.

La publication de cette vérité, se traduisait par le décablage à 5 reprises en 12 mois, d’astroemail, par des hébergeurs se faisant juge des contenus publiés, suite aux pressions et menaces de l’Inad de les poursuivre, alors que le contrat signé ne les y autorise pas. Ces sociétés sont appelées à s’expliquer devant le juge d’instruction, en compagnie de l’Inad. Enfin plus exactement en compagnie de son parrain mafieux le professeur 6awi. Parce que toutes ces actions sont orchestrées par un voyou de la voyance qui en tire un important revenu financier non fiscalement déclaré.

Le RAA s’alliait donc avec la voyoucratie de la voyance, tout en affirmant à ses 55000 lecteurs réguliers, ainsi qu’aux abonnés de sa revue, vouloir lutter contre les voyants. Cette union signifie que le RAA trompe le consommateur.
Voici une preuve de cette tromperie avec l’appel signé contre la société Cosmospace.

Conformisme d’obéissance docile servile et de dépendance à l’INAD
Le 27 novembre 2016 le RAA publiait un communiqué contre la plateforme de voyance Cosmospace en ces termes :
«Les comptes arrêtés au 31 mars 2015 font apparaître un chiffre d’affaires de 30,8 millions d’euros et un bénéfice de 1,7 millions d’euros. L’effectif déclaré est de 200 personnes. Mais, de nombreuses plaintes s’accumulent au Parquet de Grasse qui mettent en relief les méthodes de vente, le niveau "dynamique" des argumentaires, la pression permanente sur les clients. »

Le poncif du Chiffre d’affaires réalisé par Cosmospace est utilisé contre une société commerciale sans s’intéresser à la motivation de sa clientèle. L’argument dit des « plaintes accumulées au parquet de Grasse » constitue la reprise d’un ragot de l’Inad, paru dans l’édition du Provençal de septembre 2016. Médisance selon laquelle l’Inad, organisation de voyous de la voyance envisageait d’engager, contre une plateforme refusant de passer sous son contrôle mafieux, une action judiciaire dite de groupe, hors de son pouvoir légal.

Sans vérifier le contenu de cette information, reprise en boucle, alors que le RAA s’engage par ses statuts à en vérifier le contenu réaliser ou promouvoir toutes actions, études, recherches, essais comparatifs de biens ou de services, soit à sa propre initiative, soit en collaboration avec d'autres associations ou organismes, permettant de fournir aux consommateurs, usagers, contribuables, les informations et éléments de jugement utiles » le RAA  faisait écho aux médisances de l’Inad en trompant le consommateur sans avoir enquêté sur la réalité de ce qu’elle dénonçait. Bizarre ne trouvez-vous pas? Notamment lorsque le RAA, se dérobant à son activité de contrôle se dispensait de vérifier l’existence légale d’un organisme occulte revendiquant la qualité d’institut national. Alors que l’administration de l’éducation récuse la qualité d’institut national à l’INAD.

Désinformer : pratique trompeuse du RAA en matière de gratuit
L’objet du RAA consiste à désinformer le consommateur, au lieu de lui donner les éléments nécessaire permettant d’être attentif et avisé à l’égard d’un bien ou d’un service. Ainsi à propos  du gratuit le RAA publie à son adresse internet :

« CE QUI EST GRATUIT N’EXISTE PAS
Les offres gratuites sont nécessairement des pièges. En effet, tout professionnel doit vivre de son activité et il parait curieux qu’il souhaite diffuser gratuitement ses produits ou services.»

Le RAA publie ses préjugés personnels sous la forme de fausses allégations. Le gratuit existe comme pratique commerciale licite, son usage est réglementé. Ainsi relativement à la voyance gratuite, la notion de coût évitable du 19° de l’article L.121-4 sanctionne les propositions audiotel gratuites/payantes. De 2 ans de prison ET de 300 000€ d’amende.

19° De décrire un produit ou un service comme étant " gratuit ", " à titre gracieux ", " sans frais " ou autres termes similaires si le consommateur doit payer quoi que ce soit d'autre que les coûts inévitables liés à la réponse à la pratique commerciale et au fait de prendre possession ou livraison de l'article.

Les paliers gratuits du 0800 au 0805 existent. Pourquoi contraindre le consommateur à payer aux bandits, et aux malfaisants de la fausse voyance non sérieuse, la surtaxation à la durée et le coût des appels via l’achat des codes de micropaiement? Réponse : pour s’engraisser avec le gras du gratuit. Comme RAMBERT. Voyez sa bedaine qui pète dans la mauvaise graisse. Voyez les poignets d’amour de Judith Fricot elle aussi en surpoids. Trop de surcharge pondérale. Le temps est venu de mettre tout ce monde au régime…

La voie de son maitre
Voie avec un e signifie suivre le même chemin. Quel est-il? Le RAA déclare “défendre en justice les intérêts des consommateurs”. Engagement en apparence altruiste. Tout comme celui de l’Inad, réclamant aux victimes de la voyance le paiement préalable de 15% des sommes dont elles ont été dépouillées, pour les représenter en justice. Sans en avoir le pouvoir. Les victimes abusées paient en croyant les promesses trompeuses.

En effet, pour agir, une association doit être OFFICIELLEMENT agrée.
Le RAA ne l’est pas. Ni non plus l’INAD, laquelle n’existe pas.
Ainsi donc depuis mai 2016, deux “organisations” non représentatives encaissent de l’argent des consommateurs, au motif de défendre leurs intérêts.
Par une décision datée 09/12/2014 l’Inad se faisait virer du tribunal de Nanterre en région parisienne au motif qu’elle n’a pas la qualité pour exercer la défense du consommateur.
Le RAA crie misère en réclamant des sous au consommateur, pour agir en justice sans avoir d’agrément légal à cette fin.

L’INAD et le RAA pratiquent l’abus de faiblesse du consommateur ignorant.

La loi est mal faite car il a beau être écrit “Il est interdit d’abuser de la faiblesse ou de l’ignorance d’une personne pour lui faire souscrire des engagements, sous quelque forme que ce soit, lorsque les circonstances montrent que cette personne n’était pas en mesure d’apprécier la portée des engagements qu’elle prenait ou de déceler les ruses et les artifices déployés pour la convaincre”. C’est puni de 3 ans de prison et de 375 000 euros d’amende. Et le contrat conclu à la suite d’un abus de faiblesse est nul et de nul effet. Gérard Labarrère l’ignorait en 2012, son avocat aussi.

Voila, personne n’est capable de faire respecter ces textes.
Aujourd’hui il y a l’Inad et le RAA. Il manque un troisième larron, puis un quatrième. L’abus de faiblesse devient la règle dans la société Française. Jusqu'au jour où le consommateur pêtera les plombs, et fera un carton avec son fusil de chasse. En liquidant les voyous lui-même. Il faut de la viande froide pour que les autorités s’aperçoivent, enfin, de l’existence de cette gangrène, et de sa prolifération à Bressuire, à Paris, et ailleurs.


Astroemail.com 11/2018
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