dimanche 18 novembre 2018

LES EXTERMINATEURS LÉGENDAIRES D'ASTROLOGUES VOYANTS



Gérard Labarrère CONTRE l'INAD 2009-2012
L’histoire de Gérard Labarrère est celle d’un homme de Toulon trompé, et abusé par l’Inad. Afin de faire échec aux chantages de l’Inad, notamment financiers, du professeur de magie Sissaoui, Gérard Labarrère révélait un des secrets cachés du malfaisant Sissaoui et de son organisation malfaisante.

En 2009, Gérard Labarrère vivait un drame sentimental d’une particulière intensité. Sa femme le quittait définitivement, dans des circonstances et pour des motifs non précisés. Gérard Labarrère alors âgé de 62 ans était terrassé par ce considérable choc affectif. Comme cela arrive parfois, Gérard Labarrère, devenu inconsolable par le départ de sa femme se mettait à croire aux fallacieuses promesses de l’Irrationnel. C’est ainsi qu’il rencontrait Mme Christina de Marseille, fausse voyante non sérieuse, laquelle se faisait aussi appeler la voyante de l’amour. Moyennant au départ une faible somme, Mme Christina s’engageait à faire revenir Mme Labarrère selon le rituel des marabouts africains. Rien ne se passant comme prévu, Mme Christina devenait alors financièrement de plus en plus gourmande, en promettant de mettre en œuvre l’action suprême des forces occultes les plus ténébreuses de l’univers. Moyennant finances, bien évidemment. L’occulte a une mauvaise rime avec compte bancaire. Désespéré, Gérard Labarrère tombait peu à peu sous l’influence néfaste de Mme Christina, laquelle était ensuite qualifiée par la Cour d’Appel d’Aix en Provence de prédatrice.

Mme Christina asservissait mentalement sa clientèle afin de satisfaire ses  moindres caprices en se faisant offrir des parfums de grande marque notamment. De fil en aiguille Mme Christina dépouillait Gérard Labarrère de la somme de 282 610€. Suivi par un médecin, sous traitement, d’une sévère dépression, Gérard Labarrère reprenait peu à peu ses esprits en 9 mois, en découvrant avoir été berné par Mme Christina. Il engageait alors, courageusement, une difficile procédure pénale à son encontre.

C’est alors que Gérard Labarrère rencontrait une seconde engeance de l’irrationnel, une rare malfaisance de la crédulité, dénommée INAD, animée par le sinistre pervers antisocial Mage Sissaoui. L’homme qui trompe par plaisir et par profit. Croyant, au pied de la lettre les déclarations selon lesquelles l’inad serait une organisation de consommateurs, Gérard Labarrère signait le document usuel de l’Inad selon lequel, contre une somme de 12%, sur le total des gains qu’il récupérerait, il chargeait l’Inad de défendre ses intérêts en justice. Ce que l’Inad ne peut pas faire, faute d’agrément légal. Droits et qualité que Gérard Labarrère ignorait à la signature de l’acte. Gérard Labarrère découvrait ensuite, en 2012, avoir été berné, une seconde fois, via les promesses trompeuses du mage Sissaoui par les puissances de l’irrationnel. Car alors que son action en justice, contre Mme Christina, au Tgi de Marseille aboutissait à la condamnation de la fausse voyante à lui rembourser une somme d’argent, à Paris, le pervers mage antisocial Sissaoui décidait d’engager une procédure en référé contre Gérard Labarrère, à Toulon, afin d’obtenir la somme de 18 720€. Soit 12% sur une somme de 156 000€ que Gérard Labarrère avait difficilement obtenue du TGI de Marseille ayant condamné Mme Christina. Gérard Labarrère estimait, que suite à son action personnelle, il ne devait RIEN à l’Inad et moins encore à Sissaoui le pervers antisocial affamé d’argent. Ce sont dans ces conditions Que le juge des référés de Toulon, saisi d’une demande du malfaisant Sissaoui condamnait Gérard Labarrère à payer 18 720 euros à l’inad de Sissaoui. Sissaoui ayant trompé le juge en déclarant être un organisme de consommateurs et de protection des victimes de la voyance. Choqué par cette décision, du juge des référés de Toulon, Gérard Labarrère formait appel devant la Cour d’Aix en Provence.
Au nombre des tribunaux en France, les plus sévères sont Versailles et Aix en Provence. Manque de chance pour Sissaoui, ces deux juridictions condamnaient l’Inad pour ses dévoiements au cours de cette période. L’autre cas étant Mme Frigola détentrice de la marque déposée inpi IN-AD.

Devant la Cour d’Aix, Gérard Labarrère répétait son argument exposé en référé à Toulon selon lequel l’Inad consommateur n’existait pas. En effet, l’Inad selon l’habitude des trompeurs soutenait en référé exister depuis le 3 novembre 1987, en qualité d’association de consommateurs.   
  (INAD) dont l'activité consiste en la défense des personnes victimes de pratiques occultes et/ou arts divinatoires exercées par certains professionnels,

Cette présentation se rapporte à un simple effet de Moïse. Car en novembre 1987 était déclarée au Journal Officiel une association Inad ayant pour objet « la promotion des arts dits divinatoires », sans action de défense des consommateurs, bien entendu. Puisque cette inad là entendait les plumer comme des volailles de basse cour
En application de la charge de la preuve, en procédure civile, il appartenait à l’inad de fournir à la Cour d’appel d’Aix la copie de la déclaration en préfecture d’une inad des consommateurs. C’était impossible. Au motif qu’en 2012, l’inad de 1987 n’existait plus. Le pervers antisocial Sissaoui ne pouvait prendre le risque de révéler aux juges le système mafieux qu’il avait élaboré, qui assure son train de vie actuel, à cause des conséquences fiscales qui lui seraient tombées dessus. Alors les avocats de l’Inad/Sissaoui décidèrent de soutenir ne pouvoir prouver leurs assertions faute des documents disponibles. Ce qui revenait à perdre les 18 720€ réclamés. Ce scénario se rejouait pour la seconde fois le 20 juillet 2017 avec le délibéré Danae Roux. La jurisprudence Gérard Labarrère servait à sauver une sorcière de Marseille des griffes de l’Inad/Sissaoui. L’arrêt Gérard Labarrère restait ignoré pendant 5 ans, jusqu’à ce qu’Astroemail le découvre, et le publie, en décembre 2017. Afin d’interdire cette publication l’Inad mettait alors en œuvre les grands moyens, jusqu’à la menace de mort par personne interposée d’un garçon coiffeur reconverti dans l’industrie du mensonge.

Gérard Labarrère, submergé par son chagrin, se satisfaisait d’une demi-victoire. Car Gérard Labarrère n’avait soulevé, en réalité, qu’un petit coin du voile de l’Inad. En effet, le 2 janvier 2000 une seconde Inad remplaçait celle de novembre 1987, portée alors en terre sans fleurs ni couronnes. Afin d’échapper aux conséquences financières d’une procédure engagée devant la Cour de Cassation, l’Inad de 1987 se sabordait corps et bien. La seconde inad, ne peut pas fonctionner selon les formes dans lesquelles elle est conçue. On y retrouve la main sournoise de l’avocat Istin habitué aux conflits d’intérêts. Sans doute n’était-il pas assez payé pour ses services. La seconde Inad expose ses adhérents professionnels, actuels, à d’importantes poursuites par des organismes autrement plus puissants que le simple juge judiciaire. C’est une autre histoire à vous raconter. Par son courage, et sa ténacité, ainsi que par les sacrifices financiers qu’il s’imposait, alors en plein désarroi, Gérard Labarrère incarne désormais la place d’une légende de première importance dans la lutte contre les malfaisances de l’astrologie voyance et de l’irrationnel. Gérard Labarrère l’homme qui le premier bottait le cul du mage pervers antisocial Sissaoui, trompeur par plaisir et par profit et de son Inad malfaisante.

disparition de Mme Christina la voyante de l'amour de Marseille
révélation de la nature pernicieuse et perverse de l'inad tenue en échec
alors que l'Inad utilise les services d'un juge en retraite pour gagner ses procès
démontrant ainsi le caractère truqué des procès, ainsi que les manipulations des délibérés de justice

Rémy Roi, tueur du mage Nathaniel
-22/10/1990 la voyance du 3615 Bomec-

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