Gérard
Labarrère CONTRE l'INAD 2009-2012
L’histoire
de Gérard Labarrère est celle d’un homme de Toulon trompé, et abusé par l’Inad.
Afin de faire échec aux chantages de l’Inad, notamment financiers, du
professeur de magie Sissaoui, Gérard Labarrère révélait un des secrets cachés du
malfaisant Sissaoui et de son organisation malfaisante.
En
2009, Gérard Labarrère vivait un drame sentimental d’une particulière intensité.
Sa femme le quittait définitivement, dans des circonstances et pour des motifs
non précisés. Gérard Labarrère alors âgé de 62 ans était terrassé par ce
considérable choc affectif. Comme cela arrive parfois, Gérard Labarrère, devenu
inconsolable par le départ de sa femme se mettait à croire aux fallacieuses
promesses de l’Irrationnel. C’est ainsi qu’il rencontrait Mme Christina de
Marseille, fausse voyante non sérieuse, laquelle se faisait aussi appeler la
voyante de l’amour. Moyennant au départ une faible somme, Mme Christina
s’engageait à faire revenir Mme Labarrère selon le rituel des marabouts
africains. Rien ne se passant comme prévu, Mme Christina devenait alors
financièrement de plus en plus gourmande, en promettant de mettre en œuvre
l’action suprême des forces occultes les plus ténébreuses de l’univers. Moyennant
finances, bien évidemment. L’occulte a une mauvaise rime avec compte bancaire.
Désespéré, Gérard Labarrère tombait peu à peu sous l’influence néfaste de Mme
Christina, laquelle était ensuite qualifiée par la Cour d’Appel d’Aix en
Provence de prédatrice.
Mme
Christina asservissait mentalement sa clientèle afin de satisfaire ses moindres caprices en se faisant offrir des
parfums de grande marque notamment. De fil en aiguille Mme Christina
dépouillait Gérard Labarrère de la somme de 282 610€. Suivi par un médecin,
sous traitement, d’une sévère dépression, Gérard Labarrère reprenait peu à peu
ses esprits en 9 mois, en découvrant avoir été berné par Mme Christina. Il
engageait alors, courageusement, une difficile procédure pénale à son encontre.
C’est
alors que Gérard Labarrère rencontrait une seconde engeance de l’irrationnel,
une rare malfaisance de la crédulité, dénommée INAD, animée par le sinistre pervers
antisocial Mage Sissaoui. L’homme qui trompe par plaisir et par profit.
Croyant, au pied de la lettre les déclarations selon lesquelles l’inad serait
une organisation de consommateurs, Gérard Labarrère signait le document usuel
de l’Inad selon lequel, contre une somme de 12%, sur le total des gains qu’il
récupérerait, il chargeait l’Inad de défendre ses intérêts en justice. Ce que
l’Inad ne peut pas faire, faute d’agrément légal. Droits et qualité que Gérard
Labarrère ignorait à la signature de l’acte. Gérard Labarrère découvrait
ensuite, en 2012, avoir été berné, une seconde fois, via les promesses
trompeuses du mage Sissaoui par les puissances de l’irrationnel. Car alors que
son action en justice, contre Mme Christina, au Tgi de Marseille aboutissait à
la condamnation de la fausse voyante à lui rembourser une somme d’argent, à
Paris, le pervers mage antisocial Sissaoui décidait d’engager une procédure en
référé contre Gérard Labarrère, à Toulon, afin d’obtenir la somme de 18 720€.
Soit 12% sur une somme de 156 000€ que Gérard Labarrère avait difficilement
obtenue du TGI de Marseille ayant condamné Mme Christina. Gérard Labarrère
estimait, que suite à son action personnelle, il ne devait RIEN à l’Inad et moins
encore à Sissaoui le pervers antisocial affamé d’argent. Ce sont dans ces
conditions Que le juge des référés de Toulon, saisi d’une demande du malfaisant
Sissaoui condamnait Gérard Labarrère à payer 18 720 euros à l’inad de
Sissaoui. Sissaoui ayant trompé le juge en déclarant être un organisme de
consommateurs et de protection des victimes de la voyance. Choqué par cette
décision, du juge des référés de Toulon, Gérard Labarrère formait appel devant
la Cour d’Aix en Provence.
Au
nombre des tribunaux en France, les plus sévères sont Versailles et Aix en
Provence. Manque de chance pour Sissaoui, ces deux juridictions condamnaient
l’Inad pour ses dévoiements au cours de cette période. L’autre cas étant Mme
Frigola détentrice de la marque déposée inpi IN-AD.
Devant
la Cour d’Aix, Gérard Labarrère répétait son argument exposé en référé à Toulon
selon lequel l’Inad consommateur n’existait pas. En effet, l’Inad selon
l’habitude des trompeurs soutenait en référé exister depuis le 3 novembre 1987,
en qualité d’association de consommateurs.
(INAD) dont l'activité consiste en la
défense des personnes victimes de pratiques occultes et/ou arts divinatoires
exercées par certains professionnels,
Cette présentation se rapporte à un simple effet
de Moïse. Car en novembre 1987 était déclarée au Journal Officiel une
association Inad ayant pour objet « la promotion des arts dits
divinatoires », sans action de défense des consommateurs, bien entendu.
Puisque cette inad là entendait les plumer comme des volailles de basse cour
En application de la charge de la preuve, en
procédure civile, il appartenait à l’inad de fournir à la Cour d’appel d’Aix la
copie de la déclaration en préfecture d’une inad des consommateurs. C’était
impossible. Au motif qu’en 2012, l’inad de 1987 n’existait plus. Le pervers
antisocial Sissaoui ne pouvait prendre le risque de révéler aux juges le
système mafieux qu’il avait élaboré, qui assure son train de vie actuel, à
cause des conséquences fiscales qui lui seraient tombées dessus. Alors les avocats
de l’Inad/Sissaoui décidèrent de soutenir ne pouvoir prouver leurs assertions
faute des documents disponibles. Ce qui revenait à perdre les 18 720€
réclamés. Ce scénario se rejouait pour la seconde fois le 20 juillet 2017 avec
le délibéré Danae Roux. La jurisprudence Gérard Labarrère servait à sauver une
sorcière de Marseille des griffes de l’Inad/Sissaoui. L’arrêt Gérard Labarrère
restait ignoré pendant 5 ans, jusqu’à ce qu’Astroemail le découvre, et le
publie, en décembre 2017. Afin d’interdire cette publication l’Inad mettait
alors en œuvre les grands moyens, jusqu’à la menace de mort par personne
interposée d’un garçon coiffeur reconverti dans l’industrie du mensonge.
Gérard Labarrère, submergé par son chagrin, se
satisfaisait d’une demi-victoire. Car Gérard Labarrère n’avait soulevé, en
réalité, qu’un petit coin du voile de l’Inad. En effet, le 2 janvier 2000 une
seconde Inad remplaçait celle de novembre 1987, portée alors en terre sans
fleurs ni couronnes. Afin d’échapper aux conséquences financières d’une
procédure engagée devant la Cour de Cassation, l’Inad de 1987 se sabordait
corps et bien. La seconde inad, ne peut pas fonctionner selon les formes dans
lesquelles elle est conçue. On y retrouve la main sournoise de l’avocat Istin
habitué aux conflits d’intérêts. Sans doute n’était-il pas assez payé pour ses
services. La seconde Inad expose ses adhérents professionnels, actuels, à
d’importantes poursuites par des organismes autrement plus puissants que le
simple juge judiciaire. C’est une autre histoire à vous raconter. Par son courage, et sa ténacité, ainsi que par
les sacrifices financiers qu’il s’imposait, alors en plein désarroi, Gérard
Labarrère incarne désormais la place d’une légende de première importance dans
la lutte contre les malfaisances de l’astrologie voyance et de l’irrationnel.
Gérard Labarrère l’homme qui le premier bottait le cul du mage pervers
antisocial Sissaoui, trompeur par plaisir et par profit et de son Inad malfaisante.
disparition de Mme Christina la voyante de l'amour de Marseille
révélation de la nature pernicieuse et perverse de l'inad tenue en échec
alors que l'Inad utilise les services d'un juge en retraite pour gagner ses procès
démontrant ainsi le caractère truqué des procès, ainsi que les manipulations des délibérés de justice
disparition de Mme Christina la voyante de l'amour de Marseille
révélation de la nature pernicieuse et perverse de l'inad tenue en échec
alors que l'Inad utilise les services d'un juge en retraite pour gagner ses procès
démontrant ainsi le caractère truqué des procès, ainsi que les manipulations des délibérés de justice
Rémy
Roi, tueur du mage Nathaniel
-22/10/1990 la voyance du 3615 Bomec-