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dimanche 20 novembre 2016

LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE DE NEW YORK

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LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE DE NEW YORK



Le moment est venu d’observer, avec recul, les évènements de New York. En posant comme ligne directrice le scepticisme. Plusieurs éléments s’analysant en fonction du biais de Diagoras, encore appelé en psychologie biais du survivant, afin de séparer ce que nous savons, de ce que nous ignorons.

CULTE DES DEVOTS SURVIVANTS AUX ACCIDENTS
Un court rappel s’impose afin de rafraichir la mémoire, ou encore pour apprendre, à celles et ceux qui l’ignorent, qui était Diagoras de Mélos, ainsi que la raison de sa célébrité dans l’analyse des faits et des événements. Diagoras était un philosophe grec du scepticisme, doublé d’un athée. Pour cette raison Athènes avait mis sa tête à prix afin que des chasseurs de primes le ramènent mort, ou vif, pour être jugé et exécuté en public pour son impiété notoire. Personne ne le trouva. Le philosophe Diogène Laerce rapporte que des prêtres, ayant montré à Diagoras les icônes de victimes des naufrages maritimes, ayant survécu pour avoir prié les dieux, s’attirèrent de sa part cette réponse : « je sais bien que c’est la coutume de les représenter en icône, mais où sont les icones des naufragés ayant eux aussi prié les dieux et qui ont péris en mer ? Prier ne sert à rien si les dieux ont leurs têtes, sauvant quelques individus au détriment de tous les autres ! ». Cette réplique fonde le principe selon lequel on ne sait d’une chose que sa surface, en ignorant sa partie cachée.

LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE
Nonobstant la profusion des noms employés, ou lus, d’origine américaine dans les messages diffusés depuis New York il s’en dégage un seul que nous nommerons Le Singe pour la commodité d’écriture. Tous les autres, à des titres divers, sont des fictions.

Depuis le mois de juin 2016, approximativement 130 à 177 adresses -le nombre varie au fil des semaines- étaient destinataires d’un email hebdomadaire, émis d’aol, se rapportant aux divagations d’un hurluberlu se prétendant tour à tour auteur d’un annuaire de la fausse voyance, d’une feuille aux parutions éphémères, ainsi que de la diffusion de messages dont les contenus informatifs sont brouillés par plusieurs propos incompréhensibles et discordants.

Le SINGE envisage d’exploiter, de manière linéaire, un segment du marché de la crédulité, celui de la fausse voyance. La voyance n’existe pas en tant que telle. Nonobstant tous les propos enflammés de ses adeptes. En toute logique il convient donc de ne parler que de la fausse voyance. Afin de recruter des fidèles, au sens culte de ce mot, le singe fonctionne en propageant du bruit inductif. C'est-à-dire en diffusant sur internet des affirmations impossibles à prouver. Selon le système des critiques de livres. Afin de créer, dans ce qu’il considère son audience, des attachements préférentiels. Il élabore ainsi des listes de gagnants -visibles- sur le mode de ce que l’on ne voit pas. Des listes élaborées sur la base d’accords confidentiels de copinage. Relevant de la face cachée de la diagonale de Diagoras. Il exprime ses « critiques » ou appréciations sous la forme du méliorat hyperbolique. Celui du stéréotype excessif de l’excellence. Une technique classique de manipulation appelé effet Barnum. « A chaque minute nait une poire ». Il suffit de doser le compliment. En introduisant des échelles d’évaluations qualitatives entre meilleurs, puis entre meilleurs des meilleurs, puis enfin entre meilleurs et la crème. Le top du top de l’élitisme. Ainsi la politique graduelle des éloges excessives constitue une application du biais du survivant. Par usage de la gratification progressive. Il en résulte pour les « élus » l’impression de figurer au panthéon permanent de la Gagne. Le record permanent des plus représentatifs. Sur la base d’une image contrefaite du mythe du succès. Ils ont survécu aux noyades, comme les rescapés des naufrages maritimes de l’antiquité du temps de Diagoras. Ils figurent sur les icônes du Singe. Toutes ces affirmations se rapportent à des gens dont la prospérité repose sur la pratique de l’escroquerie par activité : appelée en justice l’escroquerie aux arts divinatoires ainsi définie : persuader un crédule contre la remise d’une somme d’argent de ses pouvoirs divinatoires. Ainsi un spécialiste en tromperie, emploie un effet déformant de la perception tronquée, qu’ont d’eux même des activistes de l’escroquerie aux arts divinatoires, afin de leur faire croire qu’ils sont les plus représentatifs de la réussite. Cette duperie incite ces gagnants à se dépasser, notamment en manifestant des prétentions caractéristiques dans la diffusion de publicités trompeuses, contrevenant à la législation du droit de la consommation. Cela se traduira par de sévères sanctions, ainsi que par des désillusions aux conséquences destructrices, à raison de l’incitation permanente à tromper le consommateur en usant de fausses qualités. Celles,  et ceux, qui se prétendent les meilleurs des meilleurs en France, et en Europe, devront en apporter la preuve, à bref délai, autrement que par les éloges diffusées de New York. Non recevables. Elles, et ils, le découvriront bientôt à leur détriment.


Les appréciations hyperboliques du Singe incitent, celles et ceux qui les lisent, à confondre la distribution du maximum de la variable avec la variable elle-même. A savoir qu’il existe des meilleurs faux voyants chez les faux voyants, afin d’inciter le crédule à acheter leurs prestations de préférence. Ils sont tous faux et interchangeables. Aucun ne vaut mieux que l’autre. Plus faux que faux constitue un non sens sur le marché de l’imposture.


Ce système avait peine à décoller depuis 2012. Alors le singe imagina, plutôt un énigmatique «on» lui suggéra, d’employer une grille supplémentaire d’évaluations, toutes aussi impossibles à prouver, celle des mauvais faux voyants. Afin de jouer sur deux extrêmes variables, les premiers et les derniers. Sur le même mode du survivant, en double biais. Un mauvais voyant caractérise aussi un survivant, classé dans la catégorie des exclus du copinage du Singe. Il fallait illustrer le propos par un exemple. En s’en prenant à une tête de turc. C’est ainsi que Monsieur David MOCQ fut -instrumentalisé- à partir de juin 2016 sous l’étiquette du mauvais faux voyant. Compte tenu de l’échelle d’observations, employée par le Singe, cela équivaut plutôt à un compliment qu’à une réprobation.


Au début de cette campagne, inaugurée en juin 2016, le public destinataire des messages était bluffé. Tout comme Monsieur David MOCQ, pensant alors à une campagne d’attaques personnelles sur le mode de la diffamation. C’est lors de l’élargissement de cette campagne, à l’INAD, début juillet 2016, qu’une partie de la Diagonale de Diagoras livrait un peu plus de son secret.


L’INAD est connue, de quelques spécialistes, depuis les années 1990, pour sa campagne de démarrage via le 3615 INAD sur le thème « les professionnels que l’on peut ne pas consulter ». Les sociétés YANN et ANNE DESTEIN assignèrent l’INAD devant le TGI de Paris afin de lui réclamer 20 000 francs de l’époque et 6000 francs d’article 700. Les demanderesses se plaignant d’une action anticoncurrentielle leur causant préjudice, puisque leurs noms figuraient sur cette liste.  Cette campagne est à l’origine de la notoriété de l’INAD en qualité de dénonciation d’agissements frauduleux, et indélicats, dans la fausse voyance. Yann proposait des études de voyance d’amour, la réussite hors du commun, et la haute protection avec un fer à cheval. Anne Destein le retour d’affection et le désenvoûtement. Des prestations classiques.


Le Singe, dans sa collection de macaques, fait l’éloge des meilleurs des meilleurs dont les prestations sont assez similaires : un de ses « musts » affirme travailler à la couleur. Sans préciser si c’est à l’huile, à la craie ou à l’acrylique. S’il voit du bleu « tout ira bien ». Une application pigmentée du fer à cheval de Yann. Une de ses merveilles affirme « ressentir les esprits ». Divagation de  maléfice et de sortilège, sur le mode Anne Destein, cela tombe sous le sens.


C’est ainsi, rétrospectivement, que l’on assiste à une nouvelle version 2016 cette fois, des voyants que l’on peut ne pas consulter, diffusée de New York, avec en guest Star, invitée vedette, l’INAD. Effaçant totalement Monsieur David MOCQ, rôle devenu inutile, relégué au dernier rang de la figuration sur le plateau, sans aucune réplique à prononcer dans le script. Bizarre ! Bizarre ! Moi j’ai dit bizarre ! Je vous assure cher cousin que vous avez dit bizarre. Bizarre. Bizarre ! Comme c’est bizarre. Célèbre réplique de Jouvet dans Drôle de Drame.


En effet, un sondage sur un panel de personnes ayant lu les emails du Singe de juillet, à début novembre 2016, donne pour résultat une distribution 80/20 de la loi de Vilfredo Pareto.
80% de la mémorisation se rapporte à la mention du mot INAD dans les emails hebdomadaires significatif d’une importante promotion médiatique. Une forte mise en valeur.


20% de la rémanence se rapporte à la forme du message, à savoir un email, sans pouvoir se souvenir des motifs pour lesquels l’INAD est citée, lesquels sont considérés comme sans importance.
Il ressort de ce constat, que les critiques, émises contre l’INAD, contrairement à une idée reçue, servent sa notoriété en promotionnant cette dénomination au lieu de la desservir.


La mention du nom de Monsieur David MOCQ, laisse peu ou pas de traces mnésiques. Pourquoi est-il cité ? Quelles raisons ? Le mystère plane ! Infni : information non identifiée.


Il apparaît ainsi que les messages, successifs, du Singe sont brouillés par du « bruit », au sens de la loi sur l’information de Shannon. La mise en page illisible, caractères et paragraphes, perturbe la compréhension de ses textes. Les inserts de photos -surdimensionnées- nuisent à la lecture à cause des ruptures visuelles suscitées.


Les affirmations péremptoires contre untel, ou tel autre, sont dépourvues de crédibilité. Ainsi les mots « arnaques, imposteur, charlatan » employés restent sans écho par absence de fait auxquels les raccrocher.


Le lecteur considère que les dénonciations, et attaques proférées, contre les tiers, sont « gratuites », absurdes, arbitraires, dépourvues de motivation, non crédibles. Sans portée réelle. Globalement, la campagne, lancée de New York, par le Singe, apparaît comme une action publicitaire de nature à servir exclusivement les intérêts de l’INAD, aussi contradictoire que cela paraisse, à raison de la répétitivité de cette dénomination diffusée chaque semaine dans les textes.

Il reste à appliquer la diagonale de Diagoras, afin de révéler le contenu de ce que l’on ignore encore. Notamment les liens troubles existants entre tous les acteurs de cette saynète non improvisée, auteurs, comme bénéficiaires. Il apparaît, en effet, que les principaux détracteurs de l’INAD servent -paradoxalement- ses intérêts. Leurs critiques, quels qu’en soit le contenu, renforcent l’INAD. Donnant ainsi une nouvelle application d’une réalité, connue des éditeurs, selon laquelle les mauvaises critiques intéressent plus les lecteurs potentiels que les bonnes. Car elles excitent la curiosité.


En définitive L’INAD n’est pas victime, ainsi qu’elle voudrait le faire croire, d’une campagne de diffamation de la part des américains. Y compris lorsque le Singe se livre à la diffusion de quelques messages à caractère racistes, relevant de l’opinion, et non de la discrimination, après une lecture attentive. Le Singe n’aime ni les africains, ni les arabes. C’est son droit. Comme Coluche « on nous a bourré le mou pendant des années comme quoi, en 732, Charles Martel avait arrêté les arabes à moitié. Et bien maintenant il y en a jusqu’à Lille. »


Dés lors qu’en France, l’article 6 du code civil dispose que la voyance est contraire à l’ordre public, et aux bonnes mœurs, reprocher à l’INAD de n’avoir rien fait pour les voyants ne saurait constituer ni une faute, ni une calomnie. La loi est la même pour tous. Notamment aux Etats-Unis, la loi fédérale civile ne reconnaît aucune légitimité aux «psychics», ni non plus aux médiums.


Il reste alors à l’INAD, et au Singe, à créer ensemble, FVSF : Faux Voyants Sans Frontières à l’appui de leurs causes communes, compte tenu de l’absence d’adversité réelle entre eux. Dernière révélation choc de la diagonale de Diagoras. Alliés au lieu d’ennemis. Une belle intoxication…


ϕclaude thebault 20/11/2016





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Le même commentaire était publié en notes de l' ancien article 405 escroquerie du code Pénal Dalloz -page 589 Dalloz code Pénal 1992- 

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NOR: ECOX0200175L 
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Chapitre Ier : La communication au public en ligne.
Article 1 
I, II, III : Paragraphes modificateurs.
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