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dimanche 5 novembre 2017

PRATIQUE TROMPEUSE SUR LE PRIX DE LA PRESTATION DE FAUSSE VOYANCE


panique des caisses enregistreuses audiotel du petit RAMBERT


Nostra damus, cum falsa damus, nam fallere nostrum est
Cum falsa damus, nil nisi notra damus
Nous donnons, avec fausse donne, car tromper est notre devoir
Avec fausse donne nous ne donnons rien d’autre
Jodelle 1710 poème contre Nostradamus

MULTIPLICATION DES CAISSES ENREGISTREUSES

L’activité du petit Rambert repose sur les prestations d’un facturier en micro paiements. La société HIPAY à Paris, implantée dans d’autres pays.


cartouche de l'un des scripts du petit RAMBERT ne composez pas ce numéro il vous coûtera plus de 2 euros

Rien à redire, sauf le coût, entièrement supporté par le client. Un mauvais choix.

Car contrairement à ce que le petit Rambert publie, sur la page de ses sites, la consultation de ses services coûte 5,5 fois plus cher qu’il ne le publie.

Le 15 janvier 2017 le petit rambert avait 3 scripts de micro paiement audiotel en 0892, soit 3 caisses enregistreuses.

Pour ne lui faire aucune publicité gratuite nous reproduisons dans les cartouches le numéro d’appel des codes

Ne composez pas ce numéro il vous en coûtera 2,20 euros


Courant mai 2017, le petit rambert implantait un 4e script de SVA audiotel, sva pour service à valeur ajoutée, autrement dit surtaxé, à la durée, avec un coût nouveau de 0,60€/minute. Soit un nouvel SVA 50% plus cher que les anciens à 0,40€/minute à la durée ou encore ppm -prix par minute-. C’est son droit, cela s’appelle la liberté du commerce et de l’industrie. Il vend son non sérieux au prix qu’il entend avec 4 caisses enregistreuses. 

Entre le 01/10/2017, et le 01/11/2017, le petit Rambert ajoutait encore 4 nouveaux scripts de SVA audiotel cette fois des 08 90 sur les pages de ses 13 sites internet, dont un à 0,60€/minute. Ce qui lui en fait deux sur 8 à ce palier, et 6 sur 8 sur le palier à 0,40. En l’espace de 10 mois le petit rambert a triplé sa capacité audiotel. Indicateur d’une panique financière pour laquelle il manque de réponse de qualité, pour améliorer ses revenus, sauf à essayer de s’en sortir par une fuite en avant, en augmentant sa capacité à récupérer de l’argent par une multiplication de ses moyens en micro paiements. Une mauvaise solution, qui le conduira, rapidement, à l’impasse.

PROBLEME DU MAUVAIS RENDEMENT DES CAISSES ENREGISTREUSES
politique délibérément trompeuse de dissimulation du coût réel du service
Le petit RAMBERT ignore que l’on enseigne dans les écoles de commerce « la politique client ». Pour ce motif, sous l’effet de son trouble narcissique, le petit RAMBERT considère que l’accès à ses services doit LUI coûter le moins possible. La solution ayant retenu son attention est celle du micro paiement. Laquelle comporte un inconvénient majeur dans son activité : le prix final, important, supporté par le client.

Vérifions sur pièce ce qu’écrit au consommateur crédule le petit RAMBERT sur ses 13 sites internet
« 

On retient deux sommes et trois chiffres de ce long texte « ça ne vous coûtera que 12 ou 18€ pour 30 minutes. »
INFORMATION TROMPEUSE. Sans nécessiter un développement explicatif conséquent, le petit RAMBERT omet d’écrire, au minimum, qu’à ces sommes de 12 ou 18€ s’ajoute 2,02€ à chaque fois, systématiquement. Si l’on se trompe c’est autant de fois qu’il faudra payer la même somme de 2,02€ pour obtenir un nouveau code.
Développons sur ce point, sans entrer dans une autre considération de nature à augmenter encore le prix final.
Pourquoi faut-il rajouter 2,02 euros de plus ? Parce que c’est du micro paiement, et que la Sté HIPAY facture son service au client. HIPAY chiffre et prélève le coût de sa prestation. Ce compte est détaillé dans les Conditions Générales d’Utilisation de la Sté HIPAY dont voici deux articles pour information.

ARTICLE  2 : FONCTIONNEMENT DE LA PLATEFORME DE PAIEMENT HIPAY
2.1. Le MARCHAND confie à HIPAY la gestion de l’encaissement des paiements effectués par les VISITEURS pour l’achat de contenus, biens et/ou services sur le site Internet du MARCHAND. HIPAY est donc chargé de recevoir les fonds des VISITEURS et de les reverser au MARCHAND, déduction faites des frais et commissions perçus par HIPAY et par les différents opérateurs et prestataires de paiement dans les conditions définies ci-après.
2.2.La plateforme de paiement proposée par HIPAY gère les paiements effectués au moyen des instruments de paiement suivants :
i)Paiements Audiotel/IVR : le VISITEUR procède au paiement en appelant un numéro de téléphone surtaxé ;
En clair, le client crédule du petit RAMBERT, n’accède à l’un des 8 audiotels 0892 ou 0890 qu’en demandant un code à HIPAY. Code donné par un numéro surtaxé le 089923717. Dont la vignette ci-dessous donne le détail de la facturation, d’un coût total de 2,02euros

2.4. Paiement effectué au moyen des instruments de paiement listés au 2.2 :
a) Pour chaque paiement effectué par un VISITEUR, la plateforme HIPAY délivre au VISITEUR un code d’identification de transaction (ci-après dénommé le « CODE ») que le VISITEUR saisit sur la page du site du MARCHAND comportant le script ou la requête de paiement API HIPAY pour finaliser la transaction et obtenir le contenu, bien et/ou service commercialisé par le MARCHAND.
b) La plateforme de paiement HIPAY contrôle la validité du CODE saisi.     
Si la plateforme de paiement valide le CODE saisi, le VISITEUR est redirigé vers la page du site du MARCHAND lui permettant d’accéder au contenu, bien et/ou service commercialisé par le MARCHAND.         
Si le CODE saisi n’est pas valide, le VISITEUR est informé par un message d’erreur généré par la plateforme de paiement qui lui indique que le code saisi n’est pas valide.
c) Une transaction donne lieu :               
- à la délivrance d’un seul CODE par la plateforme de paiement             
- à un reversement unique au MARCHAND.
d) Dans le cas d’un paiement effectué par MPME et/ou Internet+, le CODE est directement saisi sur la page du site du MARCHAND sans intervention du VISITEUR. Pour cette catégorie de paiement le CODE n’est pas communiqué au VISITEUR.
e)De la même manière dans le cas d’un paiement correspondant à un abonnement, le CODE est directement saisi sur la page du site du MARCHAND sans intervention du VISITEUR. Pour cette catégorie de paiement le CODE n’est pas communiqué au VISITEUR.

En clair, la consultation des non sérieux audiotels du petit RAMBERT est compliquée. Les informations tarifaires, disponibles sur les 13 sites du petit RAMBERT incomplètes, et trompeuses, car le petit RAMBERT passe sous silence la rémunération de HIPAY. Il y a tromperie sur les prix, sans qu’il soit besoin de développer plus sur le sujet.
Le petit RAMBERT s’aperçoit que le client renacle à payer car il découvre à l’usage qu’on lui cache des informations nécessaires. Le rendement des audiotels du petit RAMBERT diminue, alors le petit RAMBERT pense qu’en augmentant le nombre de ses caisses enregistreuses il augmentera automatiquement ses gains. Erreur de raisonnement. Il multiplie nécessairement les obstacles par 3, puisqu’en début d’année 2017 il n’avait que 3 scripts sur ses pages et qu’aujourd’hui il en a 8.
Le consommateur crédule n’est pas une vache à lait. Le petit RAMBERT a choisi la mauvaise formule technique pour proposer ses prestations audiotels. Cela s’appelle une erreur de distribution. En général ce type d’erreur vous coule une boite, c’est ce que l’on apprend en première année d’école de commerce.
La politique client reste inséparable d’une politique de prix. Porté par le succès de ses débuts le petit RAMBERT croyait qu’en continuant de cacher la réalité du prix, son exploitation durerait autant que les foires[1] de Lencloître qui datent de 1634. Il s’engageait dans un délit financier de la consommation, sans pouvoir compter cette fois sur les annuaires aux classements tapageurs des aliens nazis de New York, pour lui faire de la retape et s’en sortir.


les aliens nazis des artisans de lumière classaient le petit RAMBERT es qualité de meilleur des meilleurs en attendant leur retour en 2022 le petit RAMBERT a encore 5 ans pour en apporter la preuve. C'est déjà mal parti

Les 8 audiotels du petit RAMERT sont des attrape-nigauds. La solution du pauvre pour piquer de l’argent au consommateur crédule, sans prévenir le client du supplément de prix à payer, relatif au coût du micro paiement. L’oracle audiotel du petit RAMBERT ne vaut pas le prix auquel il est vendu

Textes de références à connaître :
Article L.111-1 du code de la consommation
 Avant que le consommateur ne soit lié par un contrat de vente de biens ou de fourniture de services, le professionnel communique au consommateur, de manière lisible et compréhensible, les informations suivantes :
2° Le prix du bien ou du service, en application des articles L. 112-1 à L. 112-4 ;
OBLIGATION D’ORDRE PUBLIC dont le manquement est sanctionné par un délit de la consommation
Notamment les conditions particulières des prix
Article L112-1
Tout vendeur de produit ou tout prestataire de services informe le consommateur, par voie de marquage, d'étiquetage, d'affichage ou par tout autre procédé approprié, sur les prix et les conditions particulières de la vente et de l'exécution des services, selon des modalités fixées par arrêtés du ministre chargé de l'économie, après consultation du Conseil national de la consommation.
Article L112-4
Dans le cas d'un contrat à durée indéterminée ou d'un contrat assorti d'un abonnement, le prix total inclut le total des frais exposés pour chaque période de facturation. Lorsque de tels contrats sont facturés à un tarif fixe, le prix total inclut également le total des coûts mensuels.
Lorsque le coût total ne peut être raisonnablement calculé à l'avance, le mode de calcul du prix est communiqué.
Sous-section 1 : Pratiques commerciales trompeuses
Article L121-2
Une pratique commerciale est trompeuse si elle est commise dans l'une des circonstances suivantes :
2° Lorsqu'elle repose sur des allégations, indications ou présentations fausses ou de nature à induire en erreur et portant sur l'un ou plusieurs des éléments suivants
c) Le prix ou le mode de calcul du prix, le caractère promotionnel du prix et les conditions de vente, de paiement et de livraison du bien ou du service
Article L121-3
Dans toute communication commerciale constituant une invitation à l'achat et destinée au consommateur mentionnant le prix et les caractéristiques du bien ou du service proposé, sont considérées comme substantielles les informations suivantes :
3° Le prix toutes taxes comprises et les frais de livraison à la charge du consommateur, ou leur mode de calcul, s'ils ne peuvent être établis à l'avance ;
Section 2 : Information sur les prix et conditions de vente
Article L131-5
Tout manquement aux dispositions de l'article L. 112-1 définissant les modalités d'information sur le prix et les conditions de vente ainsi qu'aux dispositions des arrêtés pris pour son application est passible d'une   amende administrative dont le montant ne peut excéder 3 000 euros pour une personne physique et 15 000 euros pour une personne morale.
Cette amende est prononcée dans les conditions prévues au chapitre II du titre II du livre V.
Article L131-6
Tout manquement aux dispositions des articles L. 112-3 et L. 112-4 relatifs aux modalités de calcul du prix est passible d'une amende administrative dont le montant ne peut excéder 3 000 euros pour une personne physique et 15 000 euros pour une personne morale.
Cette amende est prononcée dans les conditions prévues au chapitre II du titre II du livre V.

Sous-section 1 : Pratiques commerciales trompeuses
Article L132-1
Le délit de pratique commerciale trompeuse défini aux articles L. 121-2 à L. 121-4 est constitué dès lors que la pratique est mise en œuvre ou qu'elle produit ses effets en France.
Article L132-2
Les pratiques commerciales trompeuses mentionnées aux articles L. 121-2 à L. 121-4 sont punies d'un emprisonnement de deux ans et d'une amende de 300 000 euros.
Le montant de l'amende peut être porté, de manière proportionnée aux avantages tirés du délit, à 10 % du chiffre d'affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d'affaires annuels connus à la date des faits, ou à 50 % des dépenses engagées pour la réalisation de la publicité ou de la pratique constituant ce délit.
Tromper le consommateur crédule pour 2 euros, coûte 306 000 euros d’amende avec de la prison

PASSAGE A L’ACTE
Interrogé sur l’éventualité de devoir répondre de cette tromperie devant le juge, le petit RAMBERT nous répondait le 16/07/2017 :
« Faites ce que vous voulez, le pénal je n’y crois absolument pas. Vous me prenez pour un naïf ».
L’occasion est donc donnée, de le vérifier sur pièce, puisque le petit RAMBERT donnait son accord écrit pour réaliser un test grandeur nature avec les moyens appropriés.


[1] En 1634 Une ordonnance de Louis XIII donnait aux dames religieuses du prieuré royal de Fontevrault édifié à Lencloitre, dans le département de la Vienne, le droit de percevoir l’intégralité des droits de place sur les foires et marchés. Jusqu’en 1792, année de leur expulsion lorsque la Convention décida de s’approprier tous les biens du clergé, les dames religieuses percevaient les droits de place des foires et marchés tenus 1 fois le lundi de chaque mois. Depuis 1792 ces sommes sont encaissées par la municipalité, jusqu’à aujourd’hui. En 2034 le 4e centenaire de ces foires et marchés sera fêté dans cette campagne poitevine.


lundi 13 février 2017

VOTRE DIVINATEUR EST-IL CERTIFIABLE?










un article de la Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés organisme regroupant plusieurs Etats de la fédération américaine

Le titre de cet article paraphrase, en mode de droit de citation, un papier paru en anglais, le 29 octobre 2016, d’Armand DIAZ, docteur -phD- de l’institut Californien des Etudes Intégrales publié sur le site de l’ANS. Astrology News Service.

Armand DIAZ s’interrogeait à propos de la certification des astrologues en Amérique du Nord. Le public européen ignore la situation disparate des divinateurs aux USA. Croyant que ces activités y sont libres et légales. La réalité diffère beaucoup de cette appréciation superficielle. Car les 50 Etats constituant la Fédération Américaine se sont dotés de lois anti divination à contours variables et divers. Certes, en Amérique du Nord, des zones existent dans lesquelles des astrologues développent des activités, avec une relative sécurité. Mais à l’exception de quelques organismes associatifs, cités limitativement par Armand DIAZ, la divination y est moins développée qu’en Europe à taille comparable de densité de population. La divination américaine comporte, en plus, ses spécificités culturelles. La plus connue d’entre elle étant la scientologie, reposant pour partie sur la croyance en une religion, pour partie sur les travaux astrologiques de son fondateur Ron Hubbard.

Le billet d’Armand Diaz est appelé à connaitre de plus amples développements. Car, à sa lecture, des signes apparaissent selon lesquels il amorce, pour la première fois sur le nouveau continent, une vaste réflexion d’ensemble.

Ses premières réflexions concernent la situation des astrologues. Tous les Etats américains n’acceptent pas les astrologues, au regard de leurs lois anti divinatoires particulières, lesquelles sont à analyser avec la législation fédérale en vigueur. Ce qui fait deux niveaux de lecture, pas toujours compatibles. Y compris si le principe de base est réglé par le 1er amendement de la Constitution Américaine, lequel se traduit en Français par cette formule :
« Le Congrès ne fera aucune loi qui touche à l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion ni qui restreigne la liberté de parole ou de la presse, ou le droit qu’à le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre »

IS YOUR ASTROLOGER CERTIFIABLE ? votre astrologue est-il certifiable ?



















Armand Diaz pose au début de sa réflexion la proposition selon laquelle : « Certification in astrology means that professionals have at least the minimum level of competence to practice as judged by their peers” La certification en astrologie signifie que les professionnels possèdent le niveau minimum de compétence pratique selon l’avis de leurs pairs.  Cela signifie, de l’avis d’Armand Diaz, la nécessité de détenir un faible niveau de pratique comme niveau d’appréciation d’autres praticiens de niveau similaire. Puisque le mot pairs désigne les pareils au sens des collègues. La situation se complique, de l’avis d’Armand Diaz, par l’indépendance dans laquelle les astrologues se distinguent les uns des autres, ce qui réduit d’autant le champ de leur reconnaissance officielle. Aux Etats-Unis l’astrologie n’est pas une activité monolithique. Ce qui revient à considérer la réalité, connue aussi en France, selon laquelle il existe autant d’astrologies différentes qu’il y a d’astrologues.  Constat d’évidence d’Armand Diaz « Yet the field of astrology is hardly in chaos”. Le champ de l’astrologie constitue un chaos. Pour tenter une approche acceptable, Armand Diaz s’en tient aux standards reconnus par une majorité de praticiens. Mot à bien retenir, car dans son texte Armand Diaz prend soin de ne jamais les qualifier de professionnels au sens de profession officielle. Aux Etats-Unis aucun Etat, sauf erreur, ni non plus la loi fédérale, ne reconnaissent officiellement une profession d’astrologue au sens d’une formation dispensée dans les écoles légales des Etats, avec diplôme reconnu par la Fédération, assortie d’une convention collective avec des droits sociaux négociés.

Des associations d’astrologues existent aux Etats Unis, dont les plus importantes sont l’AFA, l’AFAN, l’ISAR, la NCGR et l’OPA. Chacune de ces organisations propose des programmes que l’on ne peut assimiler à des cours au sens scolaire du mot, ni non plus à des enseignements, par absence de reconnaissance officielle des contenus. Ces programmes comportent des exercices de validation des acquis tels que la lecture d’une carte de naissance, l’interprétation des transits, la détermination des évènements, ainsi que le cas de l’examen de la consultation avec un client, par deux astrologues observateurs. Certes des niveaux d’examen différents existent selon les types de catégories. Chaque organisation possède son approche. Armand Diaz cite le Kepler Collège[1].

Après ce tour d’horizon des modes de transmission des contenus à savoir, Armand Diaz observe :
.certes il est intéressant de connaître la diversité des méthodes employées, ainsi que le fait qu’une organisation d’astrologie peut évaluer des pratiques que l’on pourrait qualifier de recherche de compétence ou de professionnalisme

.toutefois trouver un astrologue « certifié », selon cette approche, ne constitue en aucun cas une garantie, pour le client, que la personne soit un bon astrologue. Armand Diaz ajoute que cette personne sera en mesure de répondre aux besoins exprimés.

Le billet d’Armand Diaz revient à dire, que si deux astrologues « valident » la pratique d’un troisième, celui-ci devrait en théorie satisfaire la, ou les, demandes correspondantes émises par la clientèle. Une application de la maxime de stratégie chinoise selon laquelle, Trois hommes font un tigre. Cette sentence se rapporte à l’application du biais cognitif dit de l’erreur de confirmation, observée à la Cour de l’Empereur Jaune. Un confident influent est appelé à s’absenter. Avant de quitter la cour il prévient l’Empereur Jaune en ses termes. « On dira du mal de moi, en mon absence, n’en croyez rien Monseigneur. Ni les déclarations d’une personne, ni de deux ». Trois jours après le départ, un courtisan bien intentionné informe l’Empereur Jaune que son conseiller a détourné de l’argent. L’Empereur Jaune refuse d’y donner crédit. Cinq jours plus tard un second courtisan informe l’Empereur Jaune des mêmes faits. Nouveau refus. Quelque-jours après un troisième courtisan informe à nouveau l’Empereur Jaune d’autres détournements financiers. Celui-ci -se dit alors, trois délateurs disent la même chose, il doit y avoir un fond de vérité. Il ordonne d’arrêter son conseiller à son retour. Informé à temps, le conseiller s’enfuit. Le billet d’Armand Diaz relate l’effet de l’auto validation, en relativisant les conséquences en terme de compétence. Le mot certification, dans ces conditions, sert de moyen de confirmation de pratiques, sans apport qualitatif. Cela signifie que focaliser spécifiquement, sur quelques éléments de pratiques partagées, ne saurait caractériser l’exercice d’une activité au sens en soi de qualifiante. En somme la reproduction, la copie, l’imitation, de pratiques ne sauraient suffire à qualifier leur auteur d’une compétence. Armand Diaz, sans le dire, dénonce la singerie en faisant état d’une exigence supérieure de maîtrise intelligente des techniques et des contenus. Le phénomène dénoncé par Armand Diaz s’observe sur Facebook, avec la constitution des chapelles astrologiques, qui se forment au grès des courants d’influence. Ou suite aux lectures mal comprises de livres eux même obscurs.

Un exemple pratique nous est donné avec l’astrologue faux voyant Rambert. Se plaignant d’atteinte « à son honneur et à sa considération professionnelle » il engageait en novembre et décembre 2016 des actions judiciaires au nombre de 4 sous la forme de 2 citations directes pour diffamation au pénal, et deux référés civils. M RAMBERT pensait, avec candeur, qu’il était un professionnel. Effet du biais de l’erreur de confirmation consistant à projeter ses préjugés sur une réalité. Son adversaire, contre toute attente, produisit des éléments matériels selon lesquels les activités d’astrologue voyant sont insusceptibles de caractériser, en France l’exercice d’un métier.  En effet, depuis 1843, la pratique des arts divinatoires constitue une activité délinquante répréhensible. Afin de justifier son action, M RAMBERT produisait un document, selon lequel il adresse ses déclarations mensuelles de TVA en qualité de professionnel. Naïveté que celle de confondre un système de tri entre catégories, et attribution de qualité. On trouve en effet, aux recettes des impôts, deux boites aux lettres pour déposer ses formulaires : celle des particuliers, et celle des professionnels ou entreprises. M RAMBERT pensait agir utilement en faisant taire les critiques relatives à ses pratiques, ainsi qu’à ses classements fantaisistes de meilleur des meilleurs. Alors qu’il présidait, depuis le 1/11/ 1997 l’association Aide par la Voyance, l’astrologue Faux Voyant RAMBERT préféra la dissoudre le 1er juin 2016.









Se privant ainsi d’un outil, pour faire reconnaître la profession de voyants dont se dispensa son ami[1] Sissaoui, avec lequel il entretient de cordiales relations. Confondre la croyance-subjective- que l’on exerce une profession, alors que celle-ci n’existe pas, revient à faire son malheur soi-même. De récentes informations indiquent, que la fausse voyante berrichonne, Estelle des Enclos, envisage, elle aussi de faire taire les critiques car elle pense exercer une profession. En ce cas, qu’elle produise d’abord sa licence en prophétie, en précisant le nom de l’Université qui lui décerna ce titre. Car en France n’exercent un métier que ceux qui ont obtenu un titre officiel reconnu. A cet effet le CAP fut créé. CERTIFICAT d’APTITUDE PROFESSIONNELLE. Mme Estelle des Enclos a-t-elle au moins un CAP en prophéties ? Pas plus, semble-t-il, que son compère RAMBERT…



[1] "Suite à ma conversation avec M Youcef Sissaoui, que je connais et apprécie depuis 35 ans.
Nous avons débuté dans le monde de la voyance presque à la même époque.
Nous nous sommes bien connus et appréciés depuis cette période ancienne"
témoignage de Rambert écrit le 21/07/2016






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Le droit français considère les arts divinatoires en qualité en qualité d'exercice d'escroquerie par activité selon la définition donnée au Dalloz Pénal 2017 en commentaire de l'actuel article 313-1 définissant l'escroquerie, page 1045, notice 153.
Le même commentaire était publié en notes de l' ancien article 405 escroquerie du code Pénal Dalloz -page 589 Dalloz code Pénal 1992-

Ce site traite, la voyance ainsi que les pratiques des arts divinatoires, en qualité d'escroquerie dès lors que, contre argent, des actes destinés à persuader les crédules, de l'existence de pouvoirs oraculaires, sont engagés.

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Version consolidée au 04 avril 2016
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dimanche 20 novembre 2016

LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE DE NEW YORK

Média indépendant de la liberté d'expression anti divinatoire
contribuant à la formation de l'opinion
indispensable à la manifestation de la pluralité des courants de pensées et de convictions en démocratie


LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE DE NEW YORK



Le moment est venu d’observer, avec recul, les évènements de New York. En posant comme ligne directrice le scepticisme. Plusieurs éléments s’analysant en fonction du biais de Diagoras, encore appelé en psychologie biais du survivant, afin de séparer ce que nous savons, de ce que nous ignorons.

CULTE DES DEVOTS SURVIVANTS AUX ACCIDENTS
Un court rappel s’impose afin de rafraichir la mémoire, ou encore pour apprendre, à celles et ceux qui l’ignorent, qui était Diagoras de Mélos, ainsi que la raison de sa célébrité dans l’analyse des faits et des événements. Diagoras était un philosophe grec du scepticisme, doublé d’un athée. Pour cette raison Athènes avait mis sa tête à prix afin que des chasseurs de primes le ramènent mort, ou vif, pour être jugé et exécuté en public pour son impiété notoire. Personne ne le trouva. Le philosophe Diogène Laerce rapporte que des prêtres, ayant montré à Diagoras les icônes de victimes des naufrages maritimes, ayant survécu pour avoir prié les dieux, s’attirèrent de sa part cette réponse : « je sais bien que c’est la coutume de les représenter en icône, mais où sont les icones des naufragés ayant eux aussi prié les dieux et qui ont péris en mer ? Prier ne sert à rien si les dieux ont leurs têtes, sauvant quelques individus au détriment de tous les autres ! ». Cette réplique fonde le principe selon lequel on ne sait d’une chose que sa surface, en ignorant sa partie cachée.

LE SINGE DE LA FAUSSE VOYANCE
Nonobstant la profusion des noms employés, ou lus, d’origine américaine dans les messages diffusés depuis New York il s’en dégage un seul que nous nommerons Le Singe pour la commodité d’écriture. Tous les autres, à des titres divers, sont des fictions.

Depuis le mois de juin 2016, approximativement 130 à 177 adresses -le nombre varie au fil des semaines- étaient destinataires d’un email hebdomadaire, émis d’aol, se rapportant aux divagations d’un hurluberlu se prétendant tour à tour auteur d’un annuaire de la fausse voyance, d’une feuille aux parutions éphémères, ainsi que de la diffusion de messages dont les contenus informatifs sont brouillés par plusieurs propos incompréhensibles et discordants.

Le SINGE envisage d’exploiter, de manière linéaire, un segment du marché de la crédulité, celui de la fausse voyance. La voyance n’existe pas en tant que telle. Nonobstant tous les propos enflammés de ses adeptes. En toute logique il convient donc de ne parler que de la fausse voyance. Afin de recruter des fidèles, au sens culte de ce mot, le singe fonctionne en propageant du bruit inductif. C'est-à-dire en diffusant sur internet des affirmations impossibles à prouver. Selon le système des critiques de livres. Afin de créer, dans ce qu’il considère son audience, des attachements préférentiels. Il élabore ainsi des listes de gagnants -visibles- sur le mode de ce que l’on ne voit pas. Des listes élaborées sur la base d’accords confidentiels de copinage. Relevant de la face cachée de la diagonale de Diagoras. Il exprime ses « critiques » ou appréciations sous la forme du méliorat hyperbolique. Celui du stéréotype excessif de l’excellence. Une technique classique de manipulation appelé effet Barnum. « A chaque minute nait une poire ». Il suffit de doser le compliment. En introduisant des échelles d’évaluations qualitatives entre meilleurs, puis entre meilleurs des meilleurs, puis enfin entre meilleurs et la crème. Le top du top de l’élitisme. Ainsi la politique graduelle des éloges excessives constitue une application du biais du survivant. Par usage de la gratification progressive. Il en résulte pour les « élus » l’impression de figurer au panthéon permanent de la Gagne. Le record permanent des plus représentatifs. Sur la base d’une image contrefaite du mythe du succès. Ils ont survécu aux noyades, comme les rescapés des naufrages maritimes de l’antiquité du temps de Diagoras. Ils figurent sur les icônes du Singe. Toutes ces affirmations se rapportent à des gens dont la prospérité repose sur la pratique de l’escroquerie par activité : appelée en justice l’escroquerie aux arts divinatoires ainsi définie : persuader un crédule contre la remise d’une somme d’argent de ses pouvoirs divinatoires. Ainsi un spécialiste en tromperie, emploie un effet déformant de la perception tronquée, qu’ont d’eux même des activistes de l’escroquerie aux arts divinatoires, afin de leur faire croire qu’ils sont les plus représentatifs de la réussite. Cette duperie incite ces gagnants à se dépasser, notamment en manifestant des prétentions caractéristiques dans la diffusion de publicités trompeuses, contrevenant à la législation du droit de la consommation. Cela se traduira par de sévères sanctions, ainsi que par des désillusions aux conséquences destructrices, à raison de l’incitation permanente à tromper le consommateur en usant de fausses qualités. Celles,  et ceux, qui se prétendent les meilleurs des meilleurs en France, et en Europe, devront en apporter la preuve, à bref délai, autrement que par les éloges diffusées de New York. Non recevables. Elles, et ils, le découvriront bientôt à leur détriment.


Les appréciations hyperboliques du Singe incitent, celles et ceux qui les lisent, à confondre la distribution du maximum de la variable avec la variable elle-même. A savoir qu’il existe des meilleurs faux voyants chez les faux voyants, afin d’inciter le crédule à acheter leurs prestations de préférence. Ils sont tous faux et interchangeables. Aucun ne vaut mieux que l’autre. Plus faux que faux constitue un non sens sur le marché de l’imposture.


Ce système avait peine à décoller depuis 2012. Alors le singe imagina, plutôt un énigmatique «on» lui suggéra, d’employer une grille supplémentaire d’évaluations, toutes aussi impossibles à prouver, celle des mauvais faux voyants. Afin de jouer sur deux extrêmes variables, les premiers et les derniers. Sur le même mode du survivant, en double biais. Un mauvais voyant caractérise aussi un survivant, classé dans la catégorie des exclus du copinage du Singe. Il fallait illustrer le propos par un exemple. En s’en prenant à une tête de turc. C’est ainsi que Monsieur David MOCQ fut -instrumentalisé- à partir de juin 2016 sous l’étiquette du mauvais faux voyant. Compte tenu de l’échelle d’observations, employée par le Singe, cela équivaut plutôt à un compliment qu’à une réprobation.


Au début de cette campagne, inaugurée en juin 2016, le public destinataire des messages était bluffé. Tout comme Monsieur David MOCQ, pensant alors à une campagne d’attaques personnelles sur le mode de la diffamation. C’est lors de l’élargissement de cette campagne, à l’INAD, début juillet 2016, qu’une partie de la Diagonale de Diagoras livrait un peu plus de son secret.


L’INAD est connue, de quelques spécialistes, depuis les années 1990, pour sa campagne de démarrage via le 3615 INAD sur le thème « les professionnels que l’on peut ne pas consulter ». Les sociétés YANN et ANNE DESTEIN assignèrent l’INAD devant le TGI de Paris afin de lui réclamer 20 000 francs de l’époque et 6000 francs d’article 700. Les demanderesses se plaignant d’une action anticoncurrentielle leur causant préjudice, puisque leurs noms figuraient sur cette liste.  Cette campagne est à l’origine de la notoriété de l’INAD en qualité de dénonciation d’agissements frauduleux, et indélicats, dans la fausse voyance. Yann proposait des études de voyance d’amour, la réussite hors du commun, et la haute protection avec un fer à cheval. Anne Destein le retour d’affection et le désenvoûtement. Des prestations classiques.


Le Singe, dans sa collection de macaques, fait l’éloge des meilleurs des meilleurs dont les prestations sont assez similaires : un de ses « musts » affirme travailler à la couleur. Sans préciser si c’est à l’huile, à la craie ou à l’acrylique. S’il voit du bleu « tout ira bien ». Une application pigmentée du fer à cheval de Yann. Une de ses merveilles affirme « ressentir les esprits ». Divagation de  maléfice et de sortilège, sur le mode Anne Destein, cela tombe sous le sens.


C’est ainsi, rétrospectivement, que l’on assiste à une nouvelle version 2016 cette fois, des voyants que l’on peut ne pas consulter, diffusée de New York, avec en guest Star, invitée vedette, l’INAD. Effaçant totalement Monsieur David MOCQ, rôle devenu inutile, relégué au dernier rang de la figuration sur le plateau, sans aucune réplique à prononcer dans le script. Bizarre ! Bizarre ! Moi j’ai dit bizarre ! Je vous assure cher cousin que vous avez dit bizarre. Bizarre. Bizarre ! Comme c’est bizarre. Célèbre réplique de Jouvet dans Drôle de Drame.


En effet, un sondage sur un panel de personnes ayant lu les emails du Singe de juillet, à début novembre 2016, donne pour résultat une distribution 80/20 de la loi de Vilfredo Pareto.
80% de la mémorisation se rapporte à la mention du mot INAD dans les emails hebdomadaires significatif d’une importante promotion médiatique. Une forte mise en valeur.


20% de la rémanence se rapporte à la forme du message, à savoir un email, sans pouvoir se souvenir des motifs pour lesquels l’INAD est citée, lesquels sont considérés comme sans importance.
Il ressort de ce constat, que les critiques, émises contre l’INAD, contrairement à une idée reçue, servent sa notoriété en promotionnant cette dénomination au lieu de la desservir.


La mention du nom de Monsieur David MOCQ, laisse peu ou pas de traces mnésiques. Pourquoi est-il cité ? Quelles raisons ? Le mystère plane ! Infni : information non identifiée.


Il apparaît ainsi que les messages, successifs, du Singe sont brouillés par du « bruit », au sens de la loi sur l’information de Shannon. La mise en page illisible, caractères et paragraphes, perturbe la compréhension de ses textes. Les inserts de photos -surdimensionnées- nuisent à la lecture à cause des ruptures visuelles suscitées.


Les affirmations péremptoires contre untel, ou tel autre, sont dépourvues de crédibilité. Ainsi les mots « arnaques, imposteur, charlatan » employés restent sans écho par absence de fait auxquels les raccrocher.


Le lecteur considère que les dénonciations, et attaques proférées, contre les tiers, sont « gratuites », absurdes, arbitraires, dépourvues de motivation, non crédibles. Sans portée réelle. Globalement, la campagne, lancée de New York, par le Singe, apparaît comme une action publicitaire de nature à servir exclusivement les intérêts de l’INAD, aussi contradictoire que cela paraisse, à raison de la répétitivité de cette dénomination diffusée chaque semaine dans les textes.

Il reste à appliquer la diagonale de Diagoras, afin de révéler le contenu de ce que l’on ignore encore. Notamment les liens troubles existants entre tous les acteurs de cette saynète non improvisée, auteurs, comme bénéficiaires. Il apparaît, en effet, que les principaux détracteurs de l’INAD servent -paradoxalement- ses intérêts. Leurs critiques, quels qu’en soit le contenu, renforcent l’INAD. Donnant ainsi une nouvelle application d’une réalité, connue des éditeurs, selon laquelle les mauvaises critiques intéressent plus les lecteurs potentiels que les bonnes. Car elles excitent la curiosité.


En définitive L’INAD n’est pas victime, ainsi qu’elle voudrait le faire croire, d’une campagne de diffamation de la part des américains. Y compris lorsque le Singe se livre à la diffusion de quelques messages à caractère racistes, relevant de l’opinion, et non de la discrimination, après une lecture attentive. Le Singe n’aime ni les africains, ni les arabes. C’est son droit. Comme Coluche « on nous a bourré le mou pendant des années comme quoi, en 732, Charles Martel avait arrêté les arabes à moitié. Et bien maintenant il y en a jusqu’à Lille. »


Dés lors qu’en France, l’article 6 du code civil dispose que la voyance est contraire à l’ordre public, et aux bonnes mœurs, reprocher à l’INAD de n’avoir rien fait pour les voyants ne saurait constituer ni une faute, ni une calomnie. La loi est la même pour tous. Notamment aux Etats-Unis, la loi fédérale civile ne reconnaît aucune légitimité aux «psychics», ni non plus aux médiums.


Il reste alors à l’INAD, et au Singe, à créer ensemble, FVSF : Faux Voyants Sans Frontières à l’appui de leurs causes communes, compte tenu de l’absence d’adversité réelle entre eux. Dernière révélation choc de la diagonale de Diagoras. Alliés au lieu d’ennemis. Une belle intoxication…


ϕclaude thebault 20/11/2016





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